echar

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot echar. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot echar, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire echar au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot echar est ici. La définition du mot echar vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deechar, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Espagnol

Étymologie

Du latin jactare.

Verbe

echar \eˈt͡ʃaɾ\ 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Jeter, lancer.
    • Estoy echando una ojeada al programa de televisión.
      Je suis en train de jeter un coup d’œil au programme de télévision.
    • Entonces José Arcadio Buendía echó treinta doblones en una cazuela, y los fundió con raspadura de cobre, oropimente, azufre y plomo. Puso a hervir todo a fuego vivo en un caldero de aceite de ricino hasta obtener un jarabe espeso y pestilente más parecido al caramelo vulgar que al oro magnífico. — (Gabriel García Márquez, traduit par Claude et Carmen Durand, Cien años de soledad, DeBolsillo, 2003)
      José Arcadio Buendia jeta alors trente doublons dans une casserole et les fit fondre avec de la limaille de cuivre, de l’orpiment, du soufre et du plomb. Il mit le tout à bouillir à feu vif dans un chaudron rempli d’huile de ricin jusqu’à ce qu’il obtînt un épais sirop dégageant une odeur pestilentielle et faisant, davantage penser au caramel vulgaire qu’à l’or magnifique.
  2. Rejeter, exclure, renvoyer.
    • Le echaron de su casa.
      Ils l’ont jeté hors de chez lui.
    • Llovía meses enteros, años enteros. (...) Los impermeables eran caros, los guantes no me gustaban, los zapatos se empapaban. Siempre recordaré los calcetines mojados junto al brasero y muchos zapatos echando vapor, como pequeñas locomotoras. — (Pablo Neruda, traduit par Claude Couffon, Confieso que he vivido, Editorial Seix Barral, 1974)
      Il pleuvait des mois entiers, des années entières. (...) Les imperméables étaient chers, j’avais horreur des gants, nos chaussures clapotaient. Je n’oublierai jamais ces chaussettes mouillées séchant près du brasero et tous ces souliers crachant leur vapeur comme de petites locomotives.

Synonymes

Dérivés

Prononciation

  • Carthagène des Indes (Colombie) : écouter « echar  »