manger à s’en faire péter la sous-ventrière

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot manger à s’en faire péter la sous-ventrière. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot manger à s’en faire péter la sous-ventrière, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire manger à s’en faire péter la sous-ventrière au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot manger à s’en faire péter la sous-ventrière est ici. La définition du mot manger à s’en faire péter la sous-ventrière vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition demanger à s’en faire péter la sous-ventrière, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

L’expression se faire péter la sous-ventrière date de l’époque où les chevaux étaient pratiquement les seuls modes de traction. Lorsqu’ils avaient mangé beaucoup d’herbage, il arrivait parfois que, sous l’influence de la fermentation intestinale, la sous-ventrière, harnais passant sous le ventre du cheval, venait à craquer… d’où l’expression qui signifie que l’on a tellement mangé que la sous-ventrière, et dans le cas des humains, la ceinture ou le corset venaient à craquer. → voir manger, faire, péter et sous-ventrière.

Locution verbale

manger à s’en faire péter la sous-ventrière \mɑ̃.ʒe a s‿ɑ̃ fɛʁ pe.te la su.vɑ̃.tʁi.jɛʁ\ (se conjugue → voir la conjugaison de manger)

  1. (Familier) Trop manger.

Variantes orthographiques

Synonymes

Prononciation

  • France (Lyon) : écouter « manger à s’en faire péter la sous-ventrière  »
  • Aude (France) : écouter « manger à s’en faire péter la sous-ventrière  »
  • Vosges (France) : écouter « manger à s’en faire péter la sous-ventrière  »
  • Bourg-en-Bresse (France) : écouter « manger à s’en faire péter la sous-ventrière  »
  • Somain (France) : écouter « manger à s’en faire péter la sous-ventrière  »