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(XVIIIe siècle)MERLESSE. s. f. C’est ainsi que les Oiseliers de Paris appellent la femelle d’un merle. Merula femina. La merlesse n’est jamais si noire que le merle.— (« merlesse », dans Trévoux, Dictionnaire universel françois et latin, 1704–1771 → consulter cet ouvrage)
Un jour que Catherine avait plus songé à chercher des nids dans les buissons qu’à garder ses bêtes, elle trouva vers le soir un nid de merles avec trois gros petits déjà bien emplumés. Ils ne paraissaient guère farouches, car, lorsqu’elle leur montrait le bout de son doigt en imitant le cri de la merlesse, ils ouvraient leurs becs jaunes et montraient leurs larges gosiers tout roses.— (George Sand, Contes d’une grand’mère, Michel Lévy frères, 1874, page 159)
La merlesse dit à Février : « Février, Février, tu es passé je ne t’ai pas vu ; j’ai les petits dans le hallier qui sont gras comme la pâte ! Houiste, houaste ! » Et elle s’envola.— (Galina Kabakova, Aux origines du monde : contes et légendes de France, Flies France, 1998 (1re édition 1891), page 180)
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Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage