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Grand récipient de bois, de métal ou de maçonnerie dont on se sert ordinairement pour fouler la vendange ou pour y laisser fermenter le vin nouveau avec la grappe, pour faire de la bière et pour divers autres usages.
Or, le bruit se répandit bientôt que le juif avait jeté l'hostie dans une cuve d'eau bouillante, à la suite de quoi l'eau aurait rougi sans s'altérer.— (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
Le sang défibriné est envoyé dans les cuves chauffées à la vapeur où il se coagule, l'albumine entrainant les globules.— (Charles-Victor Garola, Engrais : Le matières fertilisantes, Paris : J.-B. Baillière & fils, 7e édition, 1925, page 205)
Récipient en toute sorte de matière et pour divers usages.
Jamais cuve de sorcière, débordante de plus de drogues et de plus abominables choses sans nom, n’avait bouilli sur un pareil feu d’enfer.— (Émile Zola, Les Trois Villes : Paris, 1897)
Dans une cuve ou un bac à vaisselle, on mouillait le tout avec de l'eau bouillante et on savonnait directement sur le coton — (Bulletin D'histoire de la Culture Matérielle, Numéros 31 à 32, page 26, Éd. Canadian Museum of Civilization and National Museum of Science and Technology, 1990)
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage