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Aime-t-on la purée toute faite, et pourquoi ? Parce qu’elle est légère ? Parce qu’elle est onctueuse ? Parce qu’elle est si facile à faire : un geste et hop ?— (Georges Perec, Les Choses, Julliard, 1965, réédition 1984, page 33)
Et il repartait instantanément vers nous, bras tendus, comme supportant une lourde charge, et les deux genoux qui s'élevaient en rythme de part et d'autre : hop, hop, hop, hop, hop !…— (Raphaël Péaud, Kyrie rira bien le dernier, Éditions Le Manuscrit, 2002, page 272)
Alors, hop, un coup de baguette magique et la mer est transformée en montagne.— (Pierre Behel, Les Aventures de la Petite Fée dans la Forêt Magique, Éditions Publibook, 2009, page 23)
(Verbe)'(Nom commun 1) Apparenté à huppen en néerlandais, hüpfen en allemand, hoppa (« sauter ») en suédois[1]. This word has always been used here as in England as a familiar term for dance; but of late years it has been employed among us in a technical sense, to denote a dance where there is less display and ceremony than at regular balls.— (John Russell Bartlett, Dictionary of Americanisms, 1848)
(Nom commun 2) Du néerlandais hop (« houblon ») apparenté à Hopfen (« houblon ») en allemand[1].
(Nom commun 3)(1887) Du cantonais 鴉片, nga-pin (« pelure de corbeau »)[1] composé de 鴉 (« corbeau ») et de 片 (« pelure, tranche »), lui-même de l’anglais opium. → voir nha phiến en vietnamien.
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →