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La Galiana, idolâtrée par son père, vivait le plus agréablement du monde dans cette charmante retraite, s’occupant de musique, de poésie et de danse. Son travail le plus pénible était de se dérober aux galanteries et aux adorations de ses poursuivants.— (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, 1840, édition Charpentier, 1859)
Plus le pouvoir se dérobe sur de tels sujets essentiels et plus il devient envahissant sur les questions accessoires.— (Ivan Rioufol)
Les causes de ce phénomène se dérobent à l’intelligence humaine.
— Midi ! interrompit le chevalier qui tressaillit. Mais je suis attendu aujourd'hui à midi, à l'hôtellerie des Trois-Monarques par ce jeune faquin qui s'appelle le marquis de Cinq-Mars. Il va croire que je me dérobe ! Mordieu ! Cogolin, ma rapière, mon cheval !— (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
« Tu te dérobes ? » Tout est là, dans ce « tu te dérobes ? » à cause d’un tee-shirt. Dramatiser ce qui n’a aucun sens. « Tu te dérobes ? » Tout un code social qui accompagnait ces quelques lettres : appartenance, force du groupe, crainte de la disgrâce. « Tu te dérobes ? » Pas du Bruant, ni du Poulbot, mais la langue des aristos de la rue. Mes Guermantes.— (Fabrice Luchini, Comédie française, Flammarion, J’ai lu, 2016, pages 25-26)