. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot
, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire
au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot
est ici. La définition du mot
vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition de
, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
J'ai corrigé l'ancienne forme : comme expliqué dans la partie Analyses du J.O., le trait d'union était déjà utilisé pour les nombres inférieurs à cent. J'ai également supprimé la partie suivante dont les nouvelles règles ne font pas mention. Ce paragraphe peut se justifier que dans le cas où l'on parle de « trois millions » auquel cas « million » est un nom comme dans « trois milliers » mais pas si l'on parle de « trois-millions de dollars » où il fait partie du nombre.
- Attention : les millions et milliards sont considérés comme des noms au même titre que millier. Ils ne sont donc pas reliés avec des tirets. On écrira donc :
trois-cent-deux millions sept-cent-cinquante-six-mille-quatre-cent-trente-et-un
|
Futal le 7 février 2006. — (Commentaire fait par l’IP 130.233.28.16 - 2006-02-06T23:25:08)
- Dans l'ancienne orthographe je mettais un trait d'union aux nombres en dessous de cent quand il n'y avait pas « et », j'écrivais vingt-deux, vingt-trois avec trait d'union, mais vingt et un sans trait d'union. C'est sans importance aujourd'hui.- Je corrige cependant ce qui me paraît être une coquille, révertez si je me trompe.--Zephyrus 10 avril 2008 à 07:02 (UTC)Répondre
C’est vrai que dans l’orthographe de 1990 on écrit trois millions sans trait d’union, mais ce n’est pas clair pour moi si l’on écrit trois millions un ou trois-million-un.
- trois-mille hommes (*trois mille d’hommes)
- trois millions d’hommes (*trois millions hommes)
- trois millions un hommes ou trois-millions-un hommes ? (*trois millions un d’hommes)
(* agrammatical)
Ici trois millions un ne fonctionne pas comme un nom mais comme un adjectif numéral. Selon les règles par l’Académie, « on lie par des traits d’union les numéraux formant un nombre complexe ». Mais un document de l’Université de Caen Basse-Normandie dit que l’on n’écrit pas de trait d’union devant ou après million. — TAKASUGI Shinji (d) 6 juin 2009 à 04:55 (UTC)Répondre
Aujourd’hui on a ajouté une note concernant les millions : . Mais, à ma connaissance, il n’y a pas encore d’accord : , . La comparaison avec millier est effectivement utile : on dit un millier d’hommes mais on ne dit pas *trois milliers un hommes. Le million dans trois millions un hommes n’est donc pas égal à millier. — TAKASUGI Shinji (d) 21 octobre 2014 à 00:42 (UTC)Répondre
J'aimerais mentionner que puisque cette réforme n'a pas ou que très peu été adoptée par les québécois, il serait préférable de ne pas rediriger d'un article à l'autre surtout si l'on dit que les 2 orthographes sont acceptables (et bien d'autres raisons que je dirai au besoin). Je donne comme exemple le mot ile et île où le second est redirigé vers le premier, et ce n'est pas idéal. Je comprends le dictionnaire papier qui veut limiter le nombre de pages et la redondance mais vu l'espace de wikipedia, il serait préférable d'y inclure le plus d'information possible, quitte à créer un redirecte conditionnel sur île mentionnant qu'il fait partie de la réforme et que c'est de cette façon qu'il devrait être écrit. Lincher 22 janvier 2006 à 21:59 (UTC)Répondre
- Oui, c’est ce que j’ai esssayé de faire avec ognon et oignon, mais le résultat ne me parait pas satisfaisant. Toutes les suggestions et les essais sont les bienvenus :) - Dakdada (discuter) 22 janvier 2006 à 22:03 (UTC)Répondre
- Il s'agit de mots différents (qui sait si ognon, ou oignon, ne veulent rien dire en ... une autre langue). Je suis contre les redirections, qui sont à mes yeux plus négatives (lacune, imprécision, tromperie, tour de passepasse) que positives (ajout d'informations). Je trouve les articles ognon et oignon très bien faits. L'un est plus complet que l'autre, certes, mais il suffit de peu de chose (un seul copié collé méticuleux (parfois d'ailleurs réciproque)) pour gommer ce "retard". Contournons le débat pour ou contre la nouvelle orthographe, les deux articles, à mes yeux, se doivent se cohabiter. Stephane8888 22 janvier 2006 à 22:41 (UTC)Répondre
- Les rectifications orthographiques sont très peu utilisées autant au Canada qu'en France, en Belgique, en Suisse, ou tout autre pays francophone. Cependant les offices, délégations ou administrations linguistiques ont, pour certains, décidé de recommander la nouvelle orthographe. Perso, je pense que ça vaut la peine de suivre les recommandations dans nos textes, mais pour les articles, les deux orthographes étant valides, chacun à sa place ici aussi ; que ce soit un artice presque vide avec une remarque et un cf. article principal, ou autre si nécessaire. ---/moyogo/ 22 janvier 2006 à 23:34 (UTC)Répondre
- Merci pour les nombreuses réponses, je suis d'avis avec la majorité d'entre vous sur le fait que sur un dictionnaire les redirects rendent très diffus l'information sur les mots et que le regroupement fait perdre de l'importance à certains autres. Si le sujet devient une plaie sur le wikit alors on en fera un vote. Lincher 23 janvier 2006 à 00:58 (UTC)Répondre
J'ai enlevé (en en faisant un commentaire) la ligne « disacarride, au lieu de dissaccharide ». Je n'ai pas pu trouver cette « correction » dans les références (en particulier http://www.fltr.ucl.ac.be/FLTR/ROM/ess.html#D). Urhixidur 15 avril 2006 à 02:41 (UTC)Répondre
- Je lis dans le JO : « saccarine (au lieu de saccharine) et ses nombreux dérivés. » Cela semble correspondre à tous les mots qui utilisent le préfixe sacchar- (désormais saccar-). J'ai d'ailleurs trouvé ceci qui va dans ce sens : pdf.
- La liste qu'ils donnent est « disaccaride, monosaccaride, polysaccaride, saccarase, saccarate, saccareux/saccareuse, saccaridé, accarides, saccarifère, saccarification, saccarifier, saccarimètre, saccarimétrie, saccarimétrique, accarin/saccarine, saccariné/saccarinée, saccarique, saccaroïde, saccarolé, saccaromyces, saccarure ». - Dakdada (discuter) 8 juin 2006 à 22:37 (UTC)Répondre
Au hasard de mes aventures wiktionnariennes, j'ai rencontré jusqu'ici deux cas où la réforme introduit de nouvelles confusions au lieu d'en dissiper.
- sûr s'accorde maintenant en sure, sures et surs, ce qui cause confusion avec l'adjectif sur. Les eaux sures ne sont pas sures.
- boîte est désormais boite, ce qui fait que les verbes boiter (claudiquer) et boîter (faire des boîtes, je crois) sont maintenant homographes. Heureusement que boîter est peu usité...
- appas, ce mot si croustillant, se confond maintenant avec appâts.
- aiguillier (fabricant d'aiguilles), devenu aiguiller, se confond désormais avec le verbe.
Urhixidur 8 juin 2006 à 22:01 (UTC)Répondre
- Mince, c'est plutôt embêtant. Si on suit les règles à la lettre, c'est-à-dire : « on ne met pas d'accent circonflexe sauf pour distinguer les homographes », alors boîte ne devrait alors pas pouvoir s'écrire boite, de même que les dérivés de sûr. Les règles de la réforme sont correctes, mais les mots concernés ne semblent pas tous… concernés. - Dakdada (discuter) 8 juin 2006 à 22:54 (UTC)Répondre
- Pour « boite » : « boîter » n'existe pas, pas plus que « carter » pour faire des cartes ou « livrer » pour faire des livres. On pourrait penser que cette nouvelle orthographe de « boite » est en contradiction avec la règle « sauf en cas d'ambigüité », mais en réalité ce terme entre dans la catégorie « excepté pour de rare distinctions de formes homographes ». Cœur 9 décembre 2006 à 19:02 (UTC)Répondre
- Pour « sûr », l'analyse retenait « L’emploi incohérent et arbitraire de cet accent empêche tout enseignement systématique ou historique. Il n’est pas constant à l’intérieur d’une même famille ». On aurait pu penser que la nouvelle orthographe allait rendre « constant » cet usage de l'accent circonflexe. Il n'en est rien, la règle adoptée est dite de l'usage minimum : « L’exception ne concerne pas les dérivés et les composés de ces mots ». C'est un point de la réforme que je désapprouve. Cœur 9 décembre 2006 à 19:02 (UTC)Répondre
- Et c'est ainsi que depuis 1990 on ne sait plus si l'on doit placer un accent sur le u de piqure, le i de boite et celui de maitre. Le fait qu'on puisse avoir le choix nous porte à écrire tous les autres mots accentués au pif. L'Académie a fait plus de mal à la langue française que de bien. (Désolé pour ce message qui ne fait pas avancer le schmilblick.) --Glaviot 31 mars 2011 à 12:21 (UTC)Répondre
Je lis : « Dans le Wiktionnaire on préfèrera, par convention, utiliser la nouvelle orthographe, dans la rédaction des articles et surtout dans leur nommage : on précisera en effet les deux orthographes (voir la page sur les homonymies pour les conventions de présentation) et, sur la ligne de la nouvelle orthographe, on précisera (orthographe rectifiée de 1990). La nouvelle orthographe est présentée en premier. ».
Ce n'est plus d'actualité ça, me trompe-je ? Maintenant, on met l'article principal dans l'orthographie la plus usitée. Aussi, la partie convention est à réécrire, on a introduit le modèle {-ortho-alt-}. Kipmaster ☯ 9 juin 2006 à 06:40 (UTC)Répondre
- Oui il faudrait changer effectivement. À propos des autres orthographes, j'ai fait quelques essais dans mon bac à sable pour voir comment rendrait une mention sur la ligne de forme plutôt qu'isolée dans une section. Des avis ? - Dakdada (discuter) 9 juin 2006 à 09:30 (UTC)Répondre
- Merci pour les changements.
- J'aime bien le premier (ou rien), mais je pense qu'il faut garder la section isolée de toute façon, et éventuellement préciser orthographe conseillée par la réforme blabla dans cette section. A discuter sur Wiktionnaire:Wikidémie/Structure ? Kipmaster ☯ 9 juin 2006 à 11:54 (UTC)Répondre
Il y a un problème dans les derniers changements : pour le cas des graphies qui portent uniquement sur les inflexions, la recommandation proposée est de décrire cela sur la ligne de forme, et la table d'inflexion n'est plus utilisée. Il serait souhaitable de proposer deux tables, l'une avec la graphie traditionnelle, l'autre avec la nouvelle graphie, sans encombrer la ligne de forme. - Dakdada (discuter) 9 juin 2006 à 17:16 (UTC)Répondre
J'ai séparé les conventions de l'annexe, puisque les annexes n'ont pas à contenir ce genre de choses. - Dakdada (discuter) 17 juillet 2006 à 20:59 (UTC)Répondre
- Le critère d'« orthographie la plus usitée » est absurde puisqu'avant la réforme la nouvelle orthographe n'existait pas ! Il faut au contraire favoriser la nouvelle orthographe qui apporte de nombreux avantages. Cœur 9 décembre 2006 à 18:04 (UTC)Répondre
- Nous priviligions l’usage actuel (celui des lecteurs) à celui de 1990. Par exemple, pour le choix de l'article principal, rien ne sert de privilégier "ognon" si c'est "oignon" qui prédomine nettement. Et vice et versa. Bien sûr ce n'est pas la panacée d'utiliser Google, mais ça donne, dans bien des cas, quelque chose de représentatif. Stephane8888 9 décembre 2006 à 19:20 (UTC)Répondre
- Il y aussi une question de neutralité (dans un wiki, c'est vraiment important pour éviter les problèmes). Certains préfèrent la nouvelle orthographe, mais certains préfèrent l'ancienne. La seule solution neutre est de privilégier la forme la plus utilisée, tout comme dans le cas des autres mots qui ont plusieurs orthographes (même avant 1990). Privilégier ognon plutôt qu'oignon se serait pas neutre, mais serait plutôt un choix militant. Privilégier oignon parce que c'est la forme la plus courante (en attendant que les habitudes changent) est beaucoup plus neutre. Lmaltier 9 décembre 2006 à 20:54 (UTC)Répondre
J’ai retiré de l’article les passages suivants :
, ainsi que de certains ]).
==== Note ====
: On distingue par exemple de cette manière :
:* cent-vingt-et-un quarts (121/4)
:* cent-vingt et un quart (120 + 1/4)
La note corrigée (il y a plus d’un quart, d’où pluriel) ne montre pas d'ambiguïté, à cause des graphies différentes. Et si on essaie plutôt : « cent-vingt-deux quarts vs. cent-vingt et deux-quarts », ça ne marche pas plus, à cause du « et » supplémentaire. Quelqu’un peut-il fournir un exemple valide ? Urhixidur 23 février 2007 à 20:02 (UTC)Répondre
- Oups pardon :
- cent-vingt-et-un tiers (121/3)
- cent-vingt et un tiers (120 + 1/3)
- Faut chercher un peu d'accord... - Dakdada (discuter) 23 février 2007 à 22:42 (UTC)Répondre
- J'avoue avoir été un peu rapide sur celui-ci, désolé. D'ailleurs, personnellement je trouve que l'avantage de cette notation des nombres n'est pas l'ambigüité (dur à trouver, mais existante) mais le fait qu'on n'ait pas à se rappeler quelle règle appliquer et quand : on utilise des traits d'union, et voilà ^^ Dakdada (discuter) 23 février 2007 à 22:46 (UTC)Répondre
Il me semble qu'il y a une erreur autour de ce verbe :
Il est dit que "Les verbes en -eler se conjuguent comme peler", autrement dit, il faudrait écrire : j'interpèle.
Il est écrit aussi que parmi les exceptions se trouvent "appeler" (j'appelle), "jeter" (je jette), et "leurs composés (dont interpeler)". Je comprends donc qu'il conviendrait d'écrire "j'interpelle".
Pourtant, en allant sur l'article "interpeler" du Wiktionnaire, on trouve dans la partie prononciation : "j'interpèle".
Il y a donc quelque chose qui coince...
Voici pour info ce que dit le document de l'Académie française :
- 5. Verbes en -eler et -eter
- L’emploi du e accent grave pour noter le son « e ouvert » dans les verbes en -eler et en -eter est étendu à tous les verbes de ce type.
- On conjugue donc, sur le modèle de peler et d’acheter : elle ruissèle, elle ruissèlera, j’époussète, j’étiquète, il époussètera, il étiquètera.
- On ne fait exception que pour appeler (et rappeler) et jeter (et les verbes de sa famille), dont les formes sont les mieux stabilisées dans l’usage.
"Interpeler" ne ferait donc pas partie des exceptions, et on écrirait bel et bien "j'interpèle".
Qu'en pensez-vous ?
Moa18e 17 juin 2007 à 16:40 (UTC)Répondre
- Oui il semblerait que interpel(l)er ne dérive pas de appeler. Pour le Bescherelle, le TLFi, le GDT ,le Littré l'orthographe de 1990 (interpeler) est inexistante...(!) et bien sûr, la conjugaison de interpeller se fait sans ambigüité en "il interpelle". Pour information, on trouve actuellement (dans Google francophone) 20 fois plus d'occurences pour interpeller que de interpeler. Chose surprenante : dans Google livres (pourtant généralement davantage favorable aux formes traditionnelles) le rapport n'est que de 4... pour les formes : interpel(l)e, interpel(l)es et interpel(l)er. Pourait-on en déduire que la forme interpeller est celle en expansion ? Quoiqu'il en soit, et afin d'avoir des conjugaisons homogènes entres les deux formes admises, je suggère que nous établissions les tableaux de conjugaison dans les 2 articles... en "il interpelle". Peut-être que l'Académie a oublié de considérer la nouvelle forme "interpeler" ?? On pourrait aussi préciser dans une note l'ambiguité de cette conjugaison. Stéphane8888 (discuter) 17 juin 2007 à 17:29 (UTC)Répondre
- Merci de vérifier, la neutralité et la pertinence des pages de conjugaison suivantes : Annexe:Conjugaison française:interpeller et Annexe:Conjugaison française:interpeler. Nota bene : Une "note" et une partie "Références" figurent dans la seconde Annexe. Stéphane8888 (discuter) 17 juin 2007 à 18:32 (UTC)Répondre
- En effet, les annexes de la conjugaison française privilégient la forme en -ell- mais ne lèvent pas l'ambigüité, puisque précisant que "la conjugaison ci-après pourrait être considérée" : l'ambigüité persiste. Le problème est qu'autant l'une que l'autre des formes correspondrait à une logique : écrire "j'interpèle" serait en adéquation avec l'harmonisation des verbes en -eler, tandis que la forme "j'interpelle" correspondrait plus au nom "interpellation", qui semble-t-il n'a subi aucune rectification orthographique, l'Académie n'ayant étendu la règle des "è" qu'aux noms dérivés en -ement .
- À noter que j'ai été faire un tour du côté du côté du dictionnaire de l'Académie française, 9ème édition, version informatisée, qui dit précisément :
- « (1)INTERPELLER ou INTERPELER v. tr. (Interpeler se conjugue comme Appeler). » (Source)
- L'Académie semble donc mettre le verbe "interpeler" au rang des exceptions, probablement pour rester en harmonie avec la forme "interpellation", et la forme "j'interpèle" semble donc bel et bien fausse. L'Académie aurait cependant pu faire preuve d'un peu plus de rigueur en signalant l'exception dans le document officiel des rectifications. Moa18e 17 juin 2007 à 19:07 (UTC)Répondre
- Je cauchemarde !!!
De quoi parlez-vous, tous ? Le verbe "Interpeler", comme vous dites N'EXISTE PAS !!! Regardez dans vos dictionnaires, il s'écrit et se prononce "INTERPELLER", et un point c'est tout ! Ce n'est pas parce que vous entendez tous les soirs aux 20h dire que les policiers ont "interpelé" un bandit que c'est correct ! Je vais immédiatement demander la suppression de cette page dans le wiktionnaire ! (Commentaire fait par l’IP 81.53.101.17 - 2008-02-21T18:12:32)
Est-ce que les mots en semi- font partie de la liste des mots qui se soudent avec la nouvelle orthographe ? semiconducteur / semi-conducteur... --Diligent 16 octobre 2007 à 18:00 (UTC)Répondre
- De mémoire et après relecture en diagonale des conclusions, je ne crois pas que les mots composés de semi- soient référencés de manière collégiale pour une règle ou pour une autre. Par contre, il me semble que semiconducteur tombe dans la classe des mots savants et à donc droit d'être soudé. Par contre semi-aride, semi-rigide ne devraient probablement pas l'être Eric-rogliano 4 février 2008 à 09:35 (UTC)Répondre
Une chose m'échappe. Je lis que :
- Désormais, il est possible de conjuguer les verbes en -eter tel déchiqueter sans doublement de consonne et avec un accent grave (i.e. sur le modèle de acheter)
Or, ceci donnerait je déchiquète /ʒə de.ʃi.kɛt/. Pour avoir vécu 24 ans sur 24 en France, je n'ai jamais entendu, que ce soit en vrai, à la télévision ou à la radio, la moindre personne prononcer cette forme verbale de la sorte (la prononciation que j'ai pu entendre étant /ʒə de.ʃikt/). La réforme de 1990 est une réforme orthographique, ce qui signifie que la prononciation n'est pas affectée. Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer ce qu'il en est et me montrer ce que j'ai manqué ?
NB : il en est de même pour d'autres verbes en -eter tel que pelleter.
Ftiercel 4 janvier 2008 à 07:51 (UTC)Répondre
- Je vis en France depuis encore beaucoup plus longtemps, et /ʒə de.ʃi.kɛt/ me paraît une prononciation tout à fait normale. Si on peut entendre /ʒə de.ʃikt/, c'est à mon avis parce que c'est une forme qu'on a très rarement l'occasion d'employer et, comme déchiqueter se prononce /de.ʃikte/, on peut avoir tendance à imaginer cette forme sans le e. Si le mot était plus fréquent, tout le monde prononcerait /ʒə de.ʃi.kɛt/ (comme pour achète, parce que acheter est un verbe courant). C'est dommage qu'il soit difficile de faire des mesures sur la prononciation pour calculer des pourcentages. Il est difficile de tirer des conclusions sans statistiques. Lmaltier 7 janvier 2008 à 19:56 (UTC)Répondre
Pluriel de scénario
Il me semble que scénarii* a toujours été un barbarisme (qui n'existe pas en italien) et ne devrait pas être mentionné comme orthographe traditionnelle. Non ?
G. (Commentaire fait par l’IP 86.197.42.82 - 2008-07-08T10:47:41)
La règle n'est pas forcément bien exprimée : essayez de dire "règlement" sans prononcer le "e"... Le "e" n'est pas toujours muet, il est juste fermé (contrairement à "é" et "è" qui sont ouverts).
À noter également : sur/élever.
Teuxe 13 mai 2010 à 18:56 (UTC)Répondre
- Selon le Rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques (p.11) :
- La lettre e ne prend l’accent grave que si elle est précédée d’une autre lettre et suivie d’une syllabe qui comporte un e muet. D’où les alternances : aérer, il aère ; ; règlement, régulier ;
- Manifestement, le terme « e muet » désigne ici à la fois les e affaiblis /ə/, les e instables /(ə)/, et les e vraiment muets /…/, lesquels sont identiques du point de vue orthographique. —C.P.
Je suis allé lire le document "LES RECTIFICATIONS DE L'ORTHOGRAPHE" publié au journal officiel ]. Il n'est pas fait mention du mot plate-forme (ni plateforme), je ne comprends donc pas pourquoi ce mot fait partie des mots indiqués comme proposés à la correction ; cela ne semble pas être le cas (ou bien je rate une référence quelque part).
- Le document donne quand même terreplein : « des noms fortement ancrés dans l’usage, formés ou non d’un élément verbal suivi d’un élément nominal, tels que : croquemitaine, portemine, piquenique ou encore : quotepart, terreplein ». J’imagine que si terreplein a sa place selon ces critères, plateforme aussi. Mais je peux faire erreur. — Automatik (discussion) 19 août 2014 à 22:01 (UTC)Répondre
à priori / a priori
Sauf erreur, dans les Rectifications orthographiques du français de 1990, il n'est mention nulle part d'une modification de l'orthographe de a priori.
Il n'y est mention que du nom masculin "apriori", qui doit se conformer aux règles grammaticales.
En ce qui concerne les emprunts qui gardent un caractère de citation, il me semble que la règle est de conserver la graphie d'origine et d'écrire en italique : a priori.
Donc pas de "à priori".
Il en va de même pour les cousins a fortiori, a contrario, ...
Sauf justification supplémentaire, j'aimerais que ces "entrées" dans cette page soient supprimées.
La liste de mots rectifiés s'affiche dans un tableau à 3 colonnes, mais le haut des 2 dernières colonnes est blanc,
ce qui cache une grande partie des mots en "E" et en "P".
Probablement problème général avec les modèles utilisés pour les tableaux.
Merci de transmettre partout où le problème pourrait s'être posé. SGlad (discussion) 26 mai 2016 à 10:20 (UTC)Répondre
- Voir Wiktionnaire:Wikidémie/juin_2016#Liste_des_mots_rectifiés_en_1990. JackPotte ($♠) 1 juin 2016 à 14:55 (UTC)Répondre
Tout article touchant aux modifications de l'orthographe est trompeur, car aucune loi ne s'applique en ce domaine. Aucune instance ne peut s'arroger le droit de telles modifications, pour une simple et bonne raison : elle n'en a pas les compétences, elle n'en a pas les capacités.
Toute prétendue réforme de l'orthographe crée la plus grande confusion dans les esprits et multiplie à l'infini le nombre de fautes, puisqu'elle invente une nouvelle catégorie, inconnue jusque-là : les tolérances. Au lieu d'apprendre l'orthographe existante, on la modifie pour l'adapter à ses caprices personnels. Ceux qui font des fautes et qui les assument se passent sans problème de telles hypocrisies.c — message non signé de 2a01:cb15:10d:5300:dd74:3550:71fe:2312 (d · c) du 14 janvier 2018 à 09:15
- Bien au contraire, cette réforme de l'orthographe, comme toutes celles qui l'on précédé (je pense à 1835, dans une France franchement réactionnaire pourtant), en multipliant les graphies admissibles, divise d'autant la possibilité de fautes d'orthographe. De plus la réforme française ne s'adresse qu'aux français, et il suffit d'être belge, canadien, sénégalais, etc. pour n'en avoir rien à faire (pour rester poli). Notre orthographe devient donc une « hétérographe », c'est çà dire un joyeux bordel, un régal, un scintillement pour l'esprit... et ça nous permet d'augmenter le nombre d'entrée du wiktionnaire. --François GOGLINS (discussion) 14 janvier 2018 à 09:24 (UTC)Répondre
- S’il y a quelque chose de trompeur dans la page, merci d’expliquer précisément quoi. Je pense qu'elle ne parle pas de loi qui s’appliquerait en ce domaine ?
- Je précise aussi que les recommandations en question ont été approuvées par des organismes de plusieurs pays, pas seulement français, et je pense qu’elles ne s’adressaient pas qu’aux Français.
- Après, on peut avoir l’opinion personnelle qu'on veut sur la question, le Wiktionnaire ne fait qu’informer sans prendre parti. Lmaltier (discussion) 14 janvier 2018 à 12:38 (UTC)Répondre
- On dit simplement que cette réforme existe ! On ne dit pas que ces rectifications sont recommandées par la loi ! Renard Migrant (discussion) 14 janvier 2018 à 12:44 (UTC)Répondre
Voir :
à propos du retrait de « 1990 » des programmes décidé en juin 2018. Alphabeta (discussion) 24 juin 2018 à 18:21 (UTC)Répondre
L'Académie français est formelle : il ne faut pas mettre de traits d'union autour de « million » et au-delà. Je leur ai récemment envoyé un courriel et il m'a été répondu, suite à 6 questions que j'ai posées :
Ces formes sont incorrectes :
J'ai gagné un-million d'euros !
J'ai gagné deux-millions d'euros !
J'ai gagné deux-millions-un euros !
J'ai gagné trois-cents-milliards-deux-millions d'euros !
J'ai gagné un-million-deux-cents euros !
J'ai gagné un-petit-million d'euros !
Ces formes sont correctes :
J'ai gagné un million d'euros !
J'ai gagné deux millions d'euros !
J'ai gagné deux millions un euros !
J'ai gagné trois-cents milliards deux millions d'euros !
J'ai gagné un million deux-cents euros !
J'ai gagné un petit million d'euros !
Site de l'Académie : https://www.academie-francaise.fr/questions-de-langue#73_strong-em-rectifications-de-l-orthographe-em-strong
Comme vous pouvez y lire : « Milliard, million et millier, étant des noms, ne sont pas concernés par cette rectification. »
Il est clair que l'Académie aurait pu être plus claire dès le début !! Dans son rapport de 1990, elle s'est contentée de dire « on lie par des traits d’union les numéraux formant un nombre complexe, inférieur ou supérieur à cent » sans donner d'exemple avec « million » ou au-delà, ce qui a créé beaucoup de confusion sur ce qui était entendu par « numéraux ».
Rapport de 1990 : https://www.academie-francaise.fr/sites/academie-francaise.fr/files/rectifications_1990.pdf
Nous pouvons toujours préciser que certains mettent des traits d'union autour de « million » et au-delà, mais ce n'est à priori pas la règle permise par les rectifications de 1990, et c'est bien mieux comme ça !! Je me vois en effet mal écrire « un-million », mais « un petit million », et qu'en serait-il d'« un millier » ? Il est bien plus sage de ne pas accepter le trait d'union dans ces cas-là.
Qu'en pensez-vous ? C'est important. Kruxy Kross (discussion) 6 juin 2021 à 14:40 (UTC)Répondre
- L’Académie n’a pas le monopole de la langue française. En l’occurrence, je ne vois pas pourquoi on devrait mentionner uniquement le point de vue de l’Académie et pas celui de l’OQLF, qui est le même que celui du Renouvo.
- J’apprécie peu le fait que tu m’aies révoqué alors que ma version mentionnait les deux interprétations et qu’en cas de conflit éditorial, il est d’usage de revenir à la version qui faisait consensus avant toute modification (autrement dit la version opposée de ce que tu proposes).
- Mon avis personnel, même s’il ne compte pas ici : le mot millier n’a pas le même statut parce qu’il est rarement utilisé au milieu d’un nombre (on utilise plutôt le mot mille dans ce cas). De même, on peut écrire « 38 millions d’euros », donc on exclut le mot millions du nombre, c’est normal qu’il ne soit pas précédé d’un trait d’union. Par contre on n’écrira jamais « 38 millions 430 210 euros », dans ce cas il me semble tout à fait cohérent avec les rectifications de 1990 que millions soit précédé et suivi d’un trait d’union. -- Pols12 (discussion) 6 juin 2021 à 15:35 (UTC)Répondre
- Je pense avoir rédigé quelque chose de pas mal pour enfin afficher le quiproquo aux yeux de tous. Il manque certaines sources et c'est probablement à peaufiner.
Le plus important à retenir est que l'Académie française n'a toujours parlé que de numéraux formant un nombre complexe, donc d'adjectifs numéraux. L'ambigüité vient uniquement d'une mauvaise compréhension, bien que l'Académie aurait pu être plus claire !!! é.è Kruxy Kross (discussion) 6 juin 2021 à 18:08 (UTC)Répondre
- Le nom commun numéral est une substantivation de l’adjectif numéral qui signifie « qui désigne un nombre ». Il existe certes une classe grammaticale de numéraux dont sont exclus les noms communs, mais il n’y a pas de preuve que les rédacteurs du rapports (ce n’est pas l’Académie qui l’a écrit) voulaient désigner uniquement cette classe grammaticale. -- Pols12 (discussion) 9 juin 2021 à 15:51 (UTC)Répondre
- Bonjour, si l'Académie française est formelle, cela veut seulement dire qu'elle est sure de son avis, pas que nous devons la suivre ou effacer les avis divergents. Comme elle n'est pas la seule autorité en matière en langue française, il faut seulement mentionner cet avis, à côté des autres en concurrence, en disant d'où il vient. Selon l'opinion qu'on s'est faite de la valeur des avis de l'Académie française, chacun et chacune saura quoi en penser. Thomas Linard (discussion) 9 juin 2021 à 17:41 (UTC)Répondre