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(XVIIe siècle) Du portugais Tibete, du persan تبت, tabbat / tobbat, lui-même un emprunt aux langues turques Töbäd (« Hauteurs, Haut pays »), pluriel de töbän → voir tepe (« colline ») en turc.
Une série de cinq empreintes de mains et cinq empreintes de pieds préservées dans du calcaire d'eau douce déposé autour d'une source chaude a été découverte près d'un affluent de la rivière Xiong Qu, près du village de Quesang, à environ 80 km au nord-ouest de Lhassa, au Tibet.— (Alain Labelle, Le plus ancien exemple d’art pariétal découvert au Tibet, ici.radio-canada.ca, 15 septembre 2021)
Le dalaï-lama venait de quitter son palais du Potala, à Lhassa, à la faveur d’une tempête de sable, et de prendre la fuite avec des moinillons de douze ans et de vieux lamas au souffle perdu, pour échapper aux troupes du général chinois Tan Kuan-san qui envahissaient le Tibet.— (Claude Lanzmann, Le Lièvre de Patagonie, Gallimard, 2009, chapitre XII)
Le bouddhisme lamaïque a créé depuis le XIIIe siècle des liens étroits entre le Tibet et la Mongolie.— (René Cagnat & Michel Jan, Le Milieu des Empires : Entre Chine, U.R.S.S. et Islam, le destin de l’Asie centrale, Robert Laffont, 1981, page 249)
Peu de chefs religieux bénéficient d’une réputation aussi enviable que celle de Tenzin Gyasto, chef spirituel et temporel du Tibet bouddhiste, qui se fait aussi appeler Sa Sainteté le dalaï-lama. — (Louis Dubé, « La Sagesse du dalaï-lama : Préceptes et pratique du bouddhisme tibétain », dans Le Québec sceptique, n° 66, été 2008, page 5)
En Tibet e lakaas ar Vouddhaadegez he zroad eun nebeut diwezatocʼh : er seizvet kantved, a drugarez d’ar roue Srong-Tsan-Gam-Po.— (Remont Jestin, Ar Bouddha hag ar vouddhaadegez, in Gwalarn, no 95-96, octobre-novembre 1936, page 61)
Le bouddhisme mit le pied au Tibet un peu plus tard : au septième siècle, grâce au roi Srong-Tsan-Gam-Po.