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Et l'on sait que le péjoratif bourrin, bourrique, qui veut dire primitivement âne ou cheval, ânesse ou jument de couleur rousse (grec puros, purichos, latin burrhus ou burrus, burricus) désigne une bête de qualité inférieure à la fois sotte et méchante.— (L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, numéros 508 à 518, 1994)
Vite, nous apprenions à prendre un prudent recul lorsque quelque charmant bourrin, arrêté au trottoir, venait, en cataracte, à soulager sa vessie.— (Albert Simonin, Confession d’un enfant de la Chapelle)
Mais entre deux brancards, dis donc ! Comme un bourrin !...— (Robert Merle, Week-end à Zuydcoote, 1949, réédition Le Livre de Poche, page 11)
Quand on est en carte Et qu’on d’vient trop tarte C’est pas choucard pour l’osier En six marquotins Ce foutu bourrin Pouvait plus faire un lacsé — (Boris Vian, Ballade de la chnouf, 1957)
On n’a plus, comme il y a 30 ans, des équipes de bourrins qui envoyaient des grands ballons devant.— (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 30 juillet 2022, pages sportives, page 8)
De temps en temps, à la place de ma meilleure amie, je vois une dinde comme les pouffes que j’aperçois en boîte, le samedi soir, le corps si moulé dans du lycra que même un bourrin décérébré comprend qu’il faut peloter…— (Éric-Emmanuel Schmitt, Le Poison d’amour, éditions Albin Michel, Paris, 2014, page 57)
Et tu roulais des yeux blancs vers ta Clémence… Ah ! le terrible bourrin qui s’appuyait des régiments.— (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 13)
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