Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot confiture. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot confiture, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire confiture au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot confiture est ici. La définition du mot confiture vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deconfiture, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Après ce premier exploit, les époux se partagèrent une grosse poire de Saint-Germain, et mangèrent un peu de confiture d'orange.— (Brillat-Savarin, La physiologie du goût)
Fouquet commanda qu'on portât les bassins de confiture et les fontaines de liqueurs dans le salon attenant à la galerie.— (Alexandre Dumas, Le Vicomte de Bragelonne)
… sur la partie haute, on voyait de la volaille, du daim, , accompagnés de pains massifs, de galettes et de différentes confitures faites de fruits et de miel.— (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
… elle lui met dans la bouche une cuillerée de confitures, en symbole des douces pensées qu’il faut apporter en passant le seuil nuptial.— (Pierre Louÿs, Lesbos aujourd’hui, 1901, dans Archipel, 1932)
La préparation des confitures nous réjouissait. C'était un rite immuable. Notre mère se servait d'un grand chaudron en cuivre rouge et d’une écumoire à trous pour clarifier le jus et surveiller sa consistance. Elle mettait au fur et à mesure l'écume dans une assiette et laissait cuire jusqu'à la perle.— (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 162)
Le premier livre français sur les confitures est celui de Michel de Notre-Dame – plus connu pour ses prophéties ou « centuries » sous le nom de Nostradamus –, qui parut en 1555.— (Jean Vitaux, « Le sucre », La mondialisation à table. sous la direction de Jean Viteaux. Presses Universitaires de France, 2009, pp. 133-140.)
Le contraste de ces confitures philosophiques et de ces sépulcrales abominations formait un plat hybride, peu comestible, mais d’un goût étrange, qui plaisait à ces jolies dames, vêtues si drôlement, avec des bagues aux orteils, la ceinture au-dessus du sein, la hanche dans un fourreau de parapluie et la tête sous une gigantesque feuille de chicorée.— (Paul Féval, La Vampire, E. Dentu, 1891, pages 5-13)