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Il y a ici un cas de mélange de plusieurs anciens verbes différents signifiant « pendre », mais variant dans leur transitivité ou leur intransitivité :
Les formes irrégulières (fortes) du verbe moyen haut-allemand hāhen (transitif et intransitif), du vieux haut allemand hāhan (transitif), un verbe fort (hieng, gehangan), du proto-germanique *hanhaną (intransitif) ;
avec les formes régulières (faibles) du verbe moyen haut-allemand hangen (intransitif), du vieux haut allemand hangēn (intransitif) ;
et du moyen haut-allemand hengen (transitif), du vieux haut allemand hengen (transitif), du proto-germanique *hangijaną (« pendre, suspendre »).
La distinction entre les deux conjugaisons, irrégulière (forte) pour les emplois intransitifs et régulière (faible) pour les emplois transitifs s’est mise en place durant le XIXe siècle. Dans la langue informelle, la distinction tend à se perdre et les formes irrégulières sont aussi utilisées dans les emplois transitifs. Référence nécessaire
Die vier Kinder, welche der Frau gehörten, schienen alle im gleichen Alter zu stehen, ein seltsamer Umstand, der den Major überraschte. Die Alte hatte noch ein fünftes fast an ihrem Rocke hängen, das schwach, bleich und kränklich war und zweifelsohne der größten Sorgfalt bedurfte; demgemäß war es der Liebling, der Benjamin.— (Honoré de Balzac, traduit par Paul Hansmann, Der Landarzt, Georg Müller, 1925)
Les quatre enfants, qui appartenaient à cette femme, paraissaient avoir tous le même âge, circonstance bizarre qui frappa le commandant. La vieille en avait un cinquième presque pendu à son jupon, et qui, faible, pâle, maladif, réclamait sans doute les plus grands soins ; partant il était le bien-aimé, le Benjamin.
Emile verhüllte sein Leben; er hing sehr an seiner Mutter und war es, bis zum Schluß, gewohnt, sie heimlich und unangemeldet zu besuchen; er küßte und streichelte sie unablässig und sprach dann vom Vater, zuerst ironisch, dann wütend und ging schließlich türenschlagend davon.— (Jean-Paul Sartre, traduit par Hans Mayer, Die Wörter, Rowohlt Verlag, Hamburg, 1965)
Émile cachait sa vie; il adorait sa mère et, jusqu’à la fin, il garda l’habitude de lui faire, sans prévenir, des visites clandestines; il la couvrait de baisers et de caresses puis se mettait à parler du père, d'abord ironiquement puis avec rage et la quittait en claquant la porte.