werken

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot werken. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot werken, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire werken au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot werken est ici. La définition du mot werken vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition dewerken, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Voir aussi : Werken

Étymologie

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.

Nom commun

werken \wëʐkën\

  1. Messager.
Notes

Terme dans l’orthographe dite unifiée.

Références

Étymologie

A rapprocher de l’anglais work, de même sens, et de l'allemand Werk, « travail ».

Verbe

Présent Prétérit
ik werk werkte
jij werkt
hij, zij, het werkt
wij werken werkten
jullie werken
zij werken
u werkt werkte
Auxiliaire Participe présent Participe passé
hebben werkend gewerkt

werken \Prononciation ?\ (voir la conjugaison)

  1. Travailler.
    • de tijd werkt voor de bondgenoten
      le temps joue pour les alliés
    • gewerkte uren
      heures travaillées
    • werk ze
      bon travail !, bosse bien !
  2. Marcher, fonctionner.
    • ik ben blij, het werkt
      je suis content, ça marche
    • zo werkt het niet
      ça ne marche pas comme ça
  3. Agir, opérer.
    • (Droit) niet werken tegen
      être sans effet à l’égard de

Synonymes

travailler
marcher
agir

Taux de reconnaissance

En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
  • 99,6 % des Flamands,
  • 100,0 % des Néerlandais.

Prononciation

  • Pays-Bas : écouter « werken  »

Références

  1. Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →