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Étymologie
(1787)[1] Du latin malum (« pomme ») avec le suffixe -ique des acides. Locution proposée dans la Nomenclature[1] page 108 à la place de l’acide des pommes qui est probablement un calque du suédois äpplesyra (« acide des pommes »). Cet acide ayant été isolé en 1785 par le chimiste suédois allemand Carl Wilhelm Scheele à partir de jus de pommes immatures[2].
À l’état cristallisé, l’acide malique attire facilement l’humidité lorsqu’on l’expose au contact de l’air; il tombe alors en deliquium et forme une masse sirupeuse. L’acide malique est très soluble dans l’eau et dans l’alcool.— (Henry Rose, Traité complet de chimie analytique. Analyse qualitative, 1858-1862, V. Masson (Paris), page 762)
Enfin l’acide malique peut être obtenu par l’action de l’acide nitreux sur l’asparagine (Piria).— (Edmond Willm, Maurice Hanriot, Traité de chimie minérale et organique, G. Masson (Paris), 1888-1889, page 446)
L’acidité est due principalement à l’acide malique dont la concentration décroît au cours de la maturation d’un légume fruit tandis que l’acide citrique suit une évolution inverse.— ( Michel Pitrat, Claude Foury, Histoires de légumes des origines à l'orée du XXIe siècle, 2003, page 91)
Les principaux sont l’acide citrique et l’acide malique, suivis de l’acide succinique.— (Hervé This, « Un bon goût de fraises », Pour la Science, vol. 512-, no. 6, 2020, pp. 96-96.)
↑ a et bPierre de Menten de Horne, Dictionnaire de chimie: Une approche étymologique et historique, , Éd. De Boeck, Bruxelles 2013. , page 29., Références bibliographiques (pdf, 1.56 Mo)