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(c. 1050) Emprunt au bas latin servitor (« serviteur de Dieu »), mot attesté vers 530 formé sur servitum, supin de servire, lui-même dérivé de servus (« esclave »). Le terme aurait d’abord signifié « gardien de troupeau », d’où son origine indo-européenne présumée *ser-u-o- (« garde, protection, faire attention »), aussi source du latin servare (« préserver, conserver »)
Et ces costumes, ils se trouvaient étendus dans les séchoirs, numérotés par habilleuses, car on leur donnait aussi des serviteurs pour s’en vêtir !— (Jean Valmy-Baysse, La curieuse aventure des boulevards extérieurs, Éditions Albin-Michel, 1950, page 179)
Devoirs des serviteurs envers leurs maîtres.
Maîtres et serviteurs, tous mangeaient à la même table.
Le témoin devra déclarer s’il est parent, allié ou serviteur de l’une des parties.Note : on se sert plus communément du mot Domestique mais, en termes de l’Écriture et aussi dans le style soutenu, on emploie toujours le mot Serviteur.
Heureux le serviteur que son maître trouvera veillant !
Du Paty l’a compris et, connaissant par expérience l’implacabilité du criminel aux abois, il se voit abandonné sans recours à toutes les puissances du mal dont il fut le serviteur, .— (Georges Clemenceau, Au Cherche-Midi dans L’Aurore, 3 juin 1899 - En réunion dans Justice militaire, Stock, 1901, page 98)
J’ai toujours été serviteur de votre père, de votre famille.
Je suis votre ami et votre serviteur.
Formule de politesse dont on se servait pour finir les lettres et qui est aujourd’hui peu usitée.
Votre serviteur,
Votre très humble et très obéissant serviteur,
Formule de politesse dont on se servait en saluant quelqu’un.
Serviteur, monsieur. Bonjour, monsieur.— (Alphonse Allais, À se tordre, 1891)
Serviteur.— (René Goscinny, Strapontin et le gorille, 1962, réédition Le Lombard, 1998, page 144)
Je suis votre serviteur ou, elliptiquement,
Votre serviteur,
(Ironique)(Familier)Je suis votre serviteur, je suis son serviteur se dit à quelqu’un ou de quelqu’un pour marquer que l’on refuse ce qu’il demande ou ce qu’il propose, ou que l’on n’est point du même avis.
Vous me demandez telle chose, je suis votre serviteur.