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Le singhalais oṭuvā remonte au proto-indo-iranien *úštras qui est indo-européen et qui est une dérivation apparentée au latin Urus "bœuf sauvage" animal disparu mais qui a survécu en Pologne jusqu'au Moyen Âge. *Úštras par rapport à *Uros s'explique par l'évolution qu'on peut reconstruire de la façon suivante : *USTROS < *USROS < *UROS. Le sens original de *ustros est difficile à définir mais il est probable que la racine soit *US- voire *UR- suivi du suffixe -STROS dont le sens devait être "celui qui est". US-TROS serait "celui qui est US/UR", de sens inconnu.
Nom commun
urus\y.ʁys\masculinsingulier et pluriel identiques
- Fort curieuse légende, m'écriai-je ; mais, monsieur le comte, vous parlez de l'urus ; ce noble animal que César a décrit dans ses Commentaires, et que les rois mérovingiens chassaient dans la forêt de Compiègne, existe-t-il réellement encore en Lithuanie, ainsi que je l'ai ouï dire ?— (Prosper Mérimée, Lokis, 1869)
Dans le wagon où nous nous empilâmes, la conversation — si tant est qu'on puisse appeler conversation un tel échange de cris discords, qui rappelaient ceux de l’urus, du cerf élaphe, de l’ours brun et du lœmmergejer, — en vint sur les braconniers.— (Octave Mirbeau, Paysage d'hiver, dans La vache tachetée, 1918)
Terra dives virum ac populis numerosis et inmanibus; unde et propter fecunditatem gignendorum populorum Germania dicta est. Gignit aves Hyrcanias, quarum pinnae nocte perlucent; bisontes quoque feras et uros atque alces parturit.— (Isidore de Séville, Etym. XX, 14)