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(Siècle à préciser)[1] En ancien français eskec[2], du persan شاه مات, šâh mât (« le roi est mort ») qui a donné échec et mat ; voir chah (« roi ») et mat. L’ajout du \k\ final a été influencé par l’ancien français eschac, eschec (« butin »), du francique *skâk[1].
Le roi ne peut pas rocquer étant en échec, ni lorsqu’il a remué, ni lorsqu’il essuierait un échec en passant, ni avec une tour qui aurait remué de sa place.— (Hilaire Le Gai, Almanach des jeux : Académie nouvelle, Paris : Passard, 1853, page 168)
Carcassonne était la place centrale des opérations entreprises contre l’armée aragonaise et un refuge assuré en cas d’échec.— (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
Si la réussite d'un pétanquiste chevronné est imputable à sa capacité technique, il en va autrement de l’échec. Celui-ci est attribué à des causes extérieures au joueur, qui pour l'expliquer invoque la « déveine ».— (Hélène Vouhé, « Le métal, ça s'travaille : La pétanque, ou comment la technique transforme un monde régi par la chance », dans Jeux rituels: dédiés à la mémoire d'Éric de Dampierre et en hommage à sa vision de la recherche, Paris : Centre d'études mongoles & sibériennes/ Librairie C. Klincksieck, 2000, p. 358)
Ainsi, la volonté de correction des premières années, face aux échecs répétitifs maintes fois constatés d’hommes idémistes, se trouve noyée dans l’inertie. Paris dicte à Cayenne des mesures qui témoignent de sa souveraineté, et reflète aussi la méconnaissance de la réalité.— (Marion F. Godfroy, Bagnards, éd. Tallandier, 2008, page 18)
Je semble défier la mort et pourtant je ne peux protéger les corps meurtris. Les soldats vont encore être obligés de faire des sacrifices pour un résultat plus qu'incertain, probablement un échec.— (Jean-Louis Riguet, Aristide, la butte meurtrie (Vauquois 1914-1918), Éditions Dédicaces, 2014)