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Les jeunes musulmans formaient le kolo autour des chaudrons de halva et poursuivaient la danse sur le pont, car ils y avaient l’impression de voler et non de fouler la terre, puis ils menaient la ronde sur la kapia où ils piétinaient et frappaient du talon les dalles neuves, comme pour éprouver la solidité de l’ouvrage.— (Ivo Andrić, Le Pont sur la Drina, 1945 ; traduit du serbo-croate par Pascale Delpech, 1994, pages 70-71)
Du moyen breton coloff(1249)[1], qui proviendrait d’un celtique *kolmos, d’où aussi le léonais (Espagne) cuelmo « paille » et espagnol colmena « ruche (de paille) » ; apparenté au latin culmus « chaume », néerlandais halm « tige » et polonais słoma « paille »[2].
« . Vous devrez aller dormir dans la crèche, sur de la paille fraîche toutefois. »
E-kreiz ez eus ur pignon a ya betek ar solier, hag a zisparti an ti-annez diouzh ar marchosi, e-lecʼh ma voemp kaset da lojañ war ar cʼholo.— (Lan Inizan, Emgann Kergidu1, Éditions Al Liamm, 1977, page 59)
Au centre il y a un pignon qui va jusqu’au grenier, et qui sépare l’habitation de l’écurie, où l’on nous conduisit pour loger sur la paille.
Nann, ne gasinn gan-en na koloen na spillen evit na zeui d’in koun euz a Vrest birviken .— (Gabriel Milin, Œuvres posthumes inédites de Gabriel Milin de l’Ile de Batz, in Bulletin de la Société académique de Brest, 1903, page 162)
Non, je n’emporterai avec moi, ni paille ni épingle pour qu’il ne me vienne jamais souvenir de la ville de Brest.
Setu aze petra eo mignounach ar bed, eur vignounach edro evel ann avel ha bresk evel eur goloenn.— (Gabriel Morvan, Buez ar Zent, Brest, 1894, page 878)
Voila ce qu’est l’amitié du monde, une amitié changeante comme le vent et fragile comme une paille.
Simons, Gary F. 1977. The Ghaimuta language of interior Guadalcanal. (Working Papers for the Language Variation and Limits to Communication Project, 8.) : Cornell University and Summer Institute of Linguistics. 49pp., page 24.
Du vieux slave коло, kolo dont sont issus kolo en tchèque, koło en polonais ou коло, kolo en russe ; plus avant, apparenté au latin colo, colus, collum (« cultiver, quenouille, cou »).
Du vieux slave коло, kolo, (génitif kolese de là koleso) dont sont issus kolo en slovène, koło en polonais ou коло, kolo en russe ; plus avant, apparenté au latin colo, colus, collum (« cultiver, quenouille, cou »).