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Du moyen français naistre, de l’ancien français naistre, nestre, du latin vulgaire nascĕre (« naître » au sens propre, et au figuré « prendre son origine, provenir »), du verbe déponent latin nāscor, plus avant de *gnāscor, de l’indo-européen *genh₁.
Tous les hommes sont frères ; ils apportent, en naissant, des droits égaux aux avantages que la société procure. Ils ne diffèrent entre eux que par les facultés personnelles ; . — (Achille de Jouffroy, Avertissement aux souverains sur les dangers qui menacent l'Europe, 1831, page 34)
; tout le monde dit que la France se dépeuple, qu’il naît de moins en moins d’enfants, et que l’Allemagne, dont la population augmente toujours, finira par avoir deux fois autant de soldats que nous.— (Émile Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 321)
Je naquis au temps où les cerisiers sont pareils à des communiantes, quand tout le pays n’est plus que blancheur à perte de vue, au long des chemins et des routes, .— (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 17)
Prendre un commencement ; commencer d’être physiquement ou dans le temps.
Pavlov ne s’est pas borné à abdiquer simplement la psychologie en tant que science. Il voyait naître en lui le sentiment d’hostilité irréconciliable envers cette « alliée de la physiologie » qui n’a pas fait ses preuves.— (E. Asratian, I. Pavlov : sa vie et son œuvre, Éditions en langues étrangères, Moscou, 1953, page 78)
Le jour naissait. Feempje se dressa sur son séant et ne reprit lourdement ses esprits qu'après quelques minutes.— (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 56)