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De la racine indoeuropéenne *nu, souvent redoublée ou suffixée en n qui donne nunc en latin, νῦν, nun (« maintenant ») en grec ancien, nu en néerlandais ou now en anglais ; du protoslave *nyn dérivent nyní en tchèque, ныне en russe, ninie en polonais.
Référence nécessaire
(VIIIe siècle). Du moyen haut-allemand nū̌, nuo, nuon, du moyen bas allemand nū, du vieux saxon nū̌, du vieux frison nū, du vieux haut allemand nū̌, des langues germaniques *nu, de l'indo-européen commun nú, nū́, du latin nu-, du grec ancien ny. Apparenté au moyen néerlandais nū, au néerlandais nu, nou, au vieil anglais nū, à l'anglais now, au suédois nu, au danois nu, au vieux nordique nū, au gothique nu.
Ein reißender Bergstrom, dessen steiniges Bett häufig trocken ist, nun aber infolge der Schneeschmelze gefüllt war, benetzt das Tal, das von zwei parallellaufenden Höhenzügen, die auf allen Seiten von den Gipfeln Savoyens und der Dauphiné beherrscht werden, eingeengt wird.— (Honoré de Balzac, traduit par Paul Hansmann, Der Landarzt, Georg Müller, 1925)
Un torrent à lit pierreux souvent à sec, alors rempli par la fonte des neiges, arrose cette vallée serrée entre deux montagnes parallèles, que dominent de toutes parts les pics de la Savoie et ceux du Dauphiné.
Mi ne farus al vi komplezon, se mi per mallerta mano volus analizi la ĝojon de tiu ĉi longe disigit kaj nun denove kunigita familio.— (Louis-Lazare Zamenhof, La batalo de l’ vivo, 1891)
Kiam pasis la unua rigidiĝo, ĉe kies sola rememoro ankoraŭ nun atakas min frosto, mia unua penso estis, ke mi eble ne estas ankoraŭ enfosita, ke, se mi donos signon de vivo, oni eble aŭdos min, oni eble helpos al mi.— (Nikolaï Afrikanovitch Borovko, El la tombo, dans La Esperantisto, 1892, pp.103-108 → lire en ligne)
Une fois passée la première raideur dont le simple souvenir me donne encore des frissons, ma première pensée fut que je ne serais peut-être pas encore enterré, que si je donnais un signe de vie, je pourrais être entendu, être secouru.