Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot Wiktionnaire:Proposer un mot/mars 2009. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot Wiktionnaire:Proposer un mot/mars 2009, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire Wiktionnaire:Proposer un mot/mars 2009 au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot Wiktionnaire:Proposer un mot/mars 2009 est ici. La définition du mot Wiktionnaire:Proposer un mot/mars 2009 vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deWiktionnaire:Proposer un mot/mars 2009, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
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Le remords est un sentiment douloureux relié à un acte non favorable commis délibérément et par choix sur autrui. Le remords est étroitement lié à l'acte commis par égoïsme et génère souvent la tristesse. Les personnes victimes de ce sentiment le supportent pour le reste de leur vie à plus ou moins grande intensité.
J’enlève aussi le cadre. On pourrait peut-être récupérer l’image, si elle est libre (mais je ne suis pas sûr qu’elle soit une bonne illustration). J’espère que le contributeur ne m’en voudra pas, mais ici, c’est mieux de ne pas faire un trop gros contraste qui attire l’œil peu utilement. --Eiku9 mars 2009 à 23:45 (UTC)
Le sens est assez évident, mais comme cette expression est assez courante à l'écrit en Français (dans la presse et sur internet, en général dans les critiques de films). Donc pas de raison de ne pas l'inclure.
Petite amie de James Bond dans les films du même nom.
mais par contre, l’article est une ébauche (enfin, c’est pas comme si c’était grave : il ne sert à rien, sauf éventuellement si un anglophone veut se moquer de la façon dont on prononce ça ici). --Eiku9 mars 2009 à 23:06 (UTC)
Au cas où : pour le cas où ça s'avérerait utile, pour pallier l'imprévu.
Prends un kway, au cas où. Si ça se trouve il pleuvra là-bas.
Emporte ton baladeur, ça t'aidera à patienter au cas où il y aurait la queue au guichet.
Mais je ne sais pas si c'est familier et je ne sais pas quel type de locution c'est (je soupçonne une adverbiale mais sans certitude). --Eiku26 janvier 2009 à 15:41 (UTC)
J'ai été surpris en cherchant Arlésienne sur le TLF de trouver des définitions que je ne soupçonnais pas, mais pas celle que je cherchais (un événement attendu qui ne se produit pas, ou quelque chose comme ça).
J'ai coupe la poire en deux - avec une majuscule pour un personnage de fiction qui n'apparait pas en chair et en os, avec une minuscule pour une chose attendue qui n'arrive pas (il y a "chosification" qui a mon sens interdit le gentilé). On peut d'ailleurs argumenter, si référence il y a (et il y a) a l'œuvre de Daudet qu'on devrait écrire que tel personnage est L’Arlésienne (avec article) de la pièce, du film, etc. Bref, définitions ajoutées dans les articles mais débat encore ouvert (pas Réglé) Diligent
En fait, ça devrait être dans s’entendre, qui pour le moment est un redirect vers entendre. Ça peut vouloir dire soit s’entendre soi-même dire quelque chose, ou bien entendre quelqu’un nous dire quelque-chose.
Langue de l’exemple manquante !
N’est pas la même chose que :
Langue de l’exemple manquante !
D’ailleurs, je ne suis pas sûr de mon accord de participe passé, là... l’avait fait ou fait souffrir ?
Ce que je trouve marrant dans ces expressions, c'est que le pronom réfléchi "se" n'est pas complément d'objet direct du verbe entendre, mais du verbe qui suit. C'est plutôt original ! Et c'est comme dans les locutions "se faire entendre", "se faire dire" (restons polis)... Au sujet de la deuxième phrase, on peut écrire les deux parce que le pronom l’ peut être COD de "faire" comme de "souffrir". Je crois que la réforme de 1990 conseille de ne plus mettre "fait" au féminin, quels que soient les cas. Par contre, je ne comprends pas la différence entre les deux phrases. Chrisaix7 mars 2009 à 23:13 (UTC)
Si cette locution est figée c'est parcequ'il n'y a pas (beaucoup) de filles sur Wiktionnaire. Sinon on dirait : Bon boulot les filles. Je ne pense pas que ça mérite un article. Stephane8888Discuter8 mars 2009 à 20:41 (UTC)
D’ailleurs, parfois on entend les gars pour désigner un groupe incluant des filles. Parfois ça passe, autrement, le locuteur se reprend : « Euh, les gars et les filles » (ou et la fille). --Eiku8 mars 2009 à 21:17 (UTC)
Most folks from Chicago are ok by me, but there was this one fella who talked waaaay too much and became a real illinoyance.. --Szyx9 mars 2009 à 10:23 (UTC)
Mot qui existe en anglais et en français, mot très utile au Scrabble (comme tous les mots de trois lettres). Quelqu'un saurait mettre une bonne définition ? Mglovesfun9 mars 2009 à 22:34 (UTC)
Cette expression est plutôt rare, mais elle existe et, en général, plutôt dans des quotidiens nationaux à grand tirage que dans des blogs obscurs en SMS (je veux dire par là qu’elle semble tellement illogique qu’on pourrait croire à une erreur de français, mais là, non).
Je me souviens que quand j’étais au collège, je ne comprenais pas cette expression, et j’avais aussi du mal à admettre que d’aucuns ait un sens différent de aucun. J’ai toujours du mal à l’admettre, mais en même temps, je trouve ça plutôt marrant, ce genre d’expressions élitistes. --Eiku
Contrairement à ce qui est attendu. Note : ce qui est attendu est le plus souvent pessimiste.
Langue de l’exemple manquante !
Langue de l’exemple manquante !
On voit moins souvent un emploi de ce genre (même si ça se dit) :
Langue de l’exemple manquante !
que de celui-là (même si pour le coup, c’est franchement improbable) :
Langue de l’exemple manquante !
--Eiku(@) 12 mars 2009 à 01:02 (UTC)
Pour ceux qui veulent plein plein de proposition, je rappelle que j’ai une liste, dont je propose des mots, mais pas trop à la fois parce que ça prend du temps à rédiger et, pour les autres, à lire. --Eiku(@)12 mars 2009 à 01:16 (UTC)
Ton exemple n° 3 est à mon sens contradictoire, parce que contre toute attente implique obligatoirement qu'on attendait un événement particulier, et qu'il ne s'est pas déroulé comme prévu. Or, une attaque cardiaque est par définition imprévue et imprévisible. C'est pour ça que je pense que ça ne va pas ensemble. Est-ce que ça te semble correct, ce que je dis ? Chrisaix12 mars 2009 à 07:57 (UTC)
Je voyais ça comme ça : on attendait de ce jeune homme qu’il vive longtemps et ça ne s’est pas produit (puisqu’un événement imprévisible est arrivé). Mais je reconnais que « vivre longtemps » n’est pas un événement particulier. Je peux chercher un autre exemple :
Le directeur devait présenter un projet ambitieux, mais, contre toute attente, il s’est contenté de parler des années précédentes. → c’est vrai qu’ici, ça passe un peu mieux
Ajouté. Je n'ai aps trouvé d'exemple pour "ennuyeux à mourir", peut être que les exemples de la troisième définition pourrait convenir. Pamputt14 mars 2009 à 10:33 (UTC)
femme coquine
femme aimant le sexe
femme disposant de son corps comme elle l'entend sexuellement
ça prend deux t : slutty, ça vient de slut (« pute ») et la traduction littérale est plus vulgaire (putassière?) que le joli coquine que tu suggères. --Diligent16 mars 2009 à 14:27 (UTC)
Je suis désarçonné de la définition "qui se comporte comme une pute" que je trouve au mot slutty. la question est : peut-on utiliser un mot d'argot polysémique dans une définition, sauf s'il est synonyme ? Dans slut, c'est encore pire : la définition « Femme malpropre, sale (peut parfois s'appliquer à un homme), truie. » me met mal à l'aise. À la ligne suivante on lit "chienne". Du coup, la présence de "truie" en équivalent de "femme" rend ambiguë la définition de "chienne". Est-ce une plaisanterie machiste, ou une définition sérieuse ? --Zorglub17 mars 2009 à 17:49 (UTC)
Je suis d’accord avec Zorglub. Je préférerais qu’on n’emploie de tournures familières (ou pire) dans une définition que si elles sont synonymes exacts ou s’il n’existe aucun terme équivalent dans le registre courant. --Eiku(@)18 mars 2009 à 14:51 (UTC)
Eiku, Zorglub, vous pouvez changer la définition. Je voulais « coller » au mot pute - dans tous les cas ou j'ai entendu ce mot, c'était sans ambiguite, « salope, putassier, pétasse » ; mettez-y les formes.--Diligent19 mars 2009 à 22:02 (UTC)
À mon avis les Kabyles sont assez fâchés avec les Arabes pour refuser d'adopter leur alphabet... (cela n'engage que moi) Voir Alphabet berbère sur l’encyclopédie Wikipédia
Dans la page, l’IP 134.59.6.84 avait rajouté (sans s’occuper de la syntaxe), « en arabe ca veut dire un épée ». Si c’est pertinent, rajoutons-le. Quelqu’un sait ? --Eiku(@)19 mars 2009 à 18:08 (UTC)
-ème = je me suis bien amusé. merci de la suggestion. je comprends mieux la question précédente sur -μα (voir ci-dessus). En faisant modifier, tu trouveras des informations cachées (date d'apparition de chacun des mots suffixés, créateur) dans le mesure des infos disponibles. le joli chirème (chiro- => élément de base du langage des signes) a-t-il un synonyme plus commun ?
On trouve un article sur wikipedia, mais point d'entrée dans le wiktionnaire. Il y en a pourtant une pour paraphilie. Je sais, c'est moche.
--Excipit24 mars 2009 à 20:32 (UTC)
Amusant, la description de l'image comporte ce texte : Detail: Druckvermerk und Druckerzeichen (Explicit)... --Szyx (d) 25 mars 2009 à 10:17 (UTC)
L'étymologie dit « Du nom de la cité grecque antique Colophon ». Y a-t-il moyen d'avoir plus de détails pour expliquer pourquoi ça vient de là (qu'à donc cette cité de particulier) ? Parce que le lien entre les deux n'est pas évident. - Dakdada(discuter)25 mars 2009 à 10:23 (UTC)
On sait déjà que le fil de platine destiné à la lampe aphlogistique ne doit pas avoir plus de 777 de pouce de diamètre. 777 pouces ? Vive la numérisation automatique de google . --Szyx (d) 27 mars 2009 à 11:38 (UTC)
Une coupe menstruelle est une petite coupelle de silicone qu'une femme utilise, pendant ses règles, comme réceptacle du sang menstruel. Elle est contituée d'une coupelle de contenance égale à 20 ml environ, d'une tige facilitant le retrait, et de bords renforcés.
Les intérêts de cette méthode de protection hygiénique sont multiples : très confortable, économique et écologique, la Coupe Menstruelle est une réelle inovation dans le monde de l'hygiène et du bien-être de la femme.
Après une stérilisation dans l'eau bouillante, la coupe menstruelle peut être insérée dans le vagin, pliée pour réduire son diamètre. 8 à 12 heures (maximum) plus tard, la coupe doit être retirée, vidée du sang contenu, rincée à l'eau claire ou bien avec un savon d'hygiène intime, et peut être réinsérée. Cette méthode peut être utilisée par toutes les femmes et n'engendre aucune infection vaginale, diminue le nombre de mycoses, et est plus viable que les tampons (trop absorbants, ils "arrachent" une partie de la muqueuse, qui est irritée et endommagée).
La coupe menstruelle peut être portée en toute circonstance, de jour, de nuit, pour faire tous les sports (y compris la natation, l'équitation, le cyclisme...), est totallement invisible contrairement au tampon qui a toujours une ficelle et ne se sent pas du tout, si elle est bien utilisée.
Il existe plusieurs marques et distributeurs dans plusieurs pays (citons la LunaCup de Finlande, la DivaCup du Canada, la MoonCup des USA ou d'Angleterre, la LadyCup tchèque, et la MiaCup d'Afrique du Sud). La coupe menstruelle est communément utilisée dans les pays scandinaves et asiatiques. Elle est malheureusement peu connue en France et en Belgique, où les sites Internet et certains magasins bio les vendent. L'information passe principalement par le bouche à oreille.
Si vous souhaitez obtenir plus d'informations, il existe un site non commercial, en français, qui vous informera sur les différentes marques, comment acheter et utiliser sa coupe menstruelle, et qui vous permet de calculer les économies réalisées avec une coupe menstruelle (sans oublier que l'industrie des produits hygiéniques jetables - serviette, protège-slips, tampons - est dans les plus polluantes du monde). voici où vous diriger : -82.65.154.68
Article créé. Mais je n'ai pas mis l'étymologie parce qu'il me semble me souvenir que cette expression vient du latin, sauf que je ne suis pas arrivé à la retrouver. Si quelqu'un pouvait la compléter (autrement qu'en mettant → voir jour et lendemain SVP), ce serait sympa. Merci. Chrisaix8 mars 2009 à 12:15 (UTC)
Du mot latin qui signifie escargot. L'implant cochléaire est une invention française. Cocorico ! OK, je sors... Mince, le mot est déjà dans le wiktionnaire, mais au pluriel... C'est aussi le nom d'une plante.
La page de ce mot existe déjà, mais pas pour le mot français, en rapport avec la musique et la danse du même nom. Si une bonne volonté est intéressée ...
Pas évident à définir. S'il y a des volontaires... Lmaltier24 janvier 2009 à 17:05 (UTC)
Sens de "comme qui dirait":
"A quelqu'un qui dirait cela, on ne saurait répondre qu'il a tort ; pourtant, on sent qu'il y a des réserves à faire. Au demeurant, tout se passe comme si c'était vrai" Maginhard25 janvier 2009 à 01:12 (UTC)
Selon moi, cela sert surtout à attirer l'attention sur ce qui suit. Cela a parfois un sens propre « en quelque sorte », « une espèce de », « grosso modo ». Stéphane8888discuter25 janvier 2009 à 22:13 (UTC)
Que le diable me brûle si je sais pourquoi je me sens pour vous comme qui dirait l’attachement d’un bouledogue pour son maître ; — (Les mystères de Paris, page 82, Eugène Sue, 1843)
J’aurais dit que ça viendrait de "comme qu’y dirait" ← "comme qu’il dirait" ← "comme il dirait" ← "comme dirait mon grand-père (ou tout autre sage vénérable)". Mais ce n’est pas parce que ça me semble logique que c’est juste. --Eiku10 mars 2009 à 00:00 (UTC)
Je voudrais proposer le mot "privacité" qui serait la meilleure traduction du mot portugais "privacidade" signifiant quelque chose comme "liberté privée" ou "moment privé", en clair soit un moment dans le temps, de liberté, soit un espace physique de liberté.
Exemple : Eu não tenho privacidade, en portugais signifie : "je n'ai pas de liberté d'espace ou de moment privé". Merci Olivier
Le mot est attesté en français (sur Google livres par exemple) il faut que je vérifie sa définition en fonction du contexte... et voir s'il s'agit de la même chose qu'en portugais. Merci pour la piste. Stéphane8888discuter10 février 2009 à 23:39 (UTC)
Dans le Petit Larousse illustré "privacité" n'est pas repris du moins...
Ça me rappelle l'habitude des Romains de compter le jour de départ et le jour d'arrivée, sautant, par exemple, de diem III ante calendas à pridie calendas.Maginhard15 mars 2009 à 22:14 (UTC)
J’ai bien une idée de ce que c’est (je comprends bien les phrases qui contiennent cette locution). Apparemment, Wikipédia dit que c’est flou. Mais si des experts veulent s’exprimer, ils sont les bienvenus. --Eiku2 mars 2009 à 23:15 (UTC)
On ne peut pas dresser la liste des états membres... alors je dirai que c'est « grosso modo le reste du monde » ou « la majorité des autres pays » ou « plusieurs pays » ou « l'ONU ? » ... Stephane8888Discuter8 mars 2009 à 00:30 (UTC)
» Ensemble des pays du monde à l’exception de ceux qui ne sont pas reconnus par elle et de ceux qui en sont exclus » ---Béotien lambda8 mars 2009 à 05:55 (UTC)
ça c'est l'ONU. Quand suite à une grande catastrophe on parle de « l'aide de la communauté internationale », tous les pays de l'ONU ne participent pas. Et certains pays exclus ou non reconnus aident souvent un régime qui leur est proche. C'est pourquoi cette locution se réduit parfois à « plusieurs pays ». Comparer avec des citations est impossible pour nous car il est difficile de savoir ce qu'il en est vraiment, je dirai donc que c'est flou et qu'on se doit de rendre ce flou dans nos définitions. Joli travail Béotien lambda . Stephane8888Discuter8 mars 2009 à 07:54 (UTC)
En ce moment, il y a une grève importante dans mon université (et pas que !), et on entend beaucoup parler des partenaires sociaux (je pense que c’est toujours pluriel, bien que je ne voie pas de raison d’interdire son emploi singulier). Mais qu’est-ce que c’est exactement ? Est-ce que c’est un synonyme de syndicat ou est-ce plus large ? Une définition serait utile, je crois. D’ailleurs, il y a sûrement d’autres locutions à définir qui sont employées dans ce contexte.
--Eiku2 mars 2009 à 23:23 (UTC)
Salut ! Car j'ai vu un étranger (un xénophone ?) qui ne comprenait pas ce mot vu dans un sous-titre en français. Et sinon cécé, peut on dire qu'on peut le trouver pour signifier coco ? ... Tarap5 mars 2009 à 04:12 (UTC)
à toute berzingue est une expression populaire récente qui semble apparaitre dans des chansons. Quelqu'un connait-il l'origine de cette expression ? --P@d@w@ne24 mars 2009 à 12:23 (UTC)
berzingue est une variante de brindezingue (« ivre »), du mot « brinde », issu d'une ancienne expression allemande "bring dir's" employée pour porter un toast. A la vôtre ! --Excipit24 mars 2009 à 13:14 (UTC)
Curieux, j'ai toujours dit à tout berzinguemasculin, et ce n'est pas si récent que cela. C'est même le titre d'une chanson de Jacques Dutronc
faire les frais de quelque chose, c’est subir les conséquence de quelque chose dont on est pas responsable.
Langue de l’exemple manquante !
Langue de l’exemple manquante !
faire des frais, ce serait (dites moi si vous l’avez aussi entendu dans ce sens-là) dépenser beaucoup pour obtenir ce qu’on considère comme le meilleur possible.
Pour la deuxième, je l'ai toujours entendue sous la forme "faire des frais", avec une variante qui est un remix avec faux-frais, et qui donne "faire des chauds frais". Jamais vue écrite par contre. Chrisaix26 mars 2009 à 06:58 (UTC)
OK, je reprends mon sérieux... Une piste : au Québec, où la francisation des mots revêt une dimension particulière, le gouvernement recommande d'employer « administratique, pour e-government. Le suffixe -tique vient ici évoquer l'élément électronique ou informatique représenté par le e- en anglais ». Ceci vient appuyer la référence citée par Stephane8888. En France, la liste des mots en -tique n'est pas si longue, et on devrait probablement arriver à les répertorier tous, sans avoir à les mettre en relation avec un suffixe particulier (méthode que je n'utilisais d'ailleurs pas en étymologie avant d'arriver ici). En tout cas, ça valait le coup de le signaler. --Excipit27 mars 2009 à 15:39 (UTC)
Je suis Pour la création de cet article, mais néanmoins ma blague ci-plus-haut (article que je vais m'empresser de créer) n'en était qu'une demie, comme l'a justement relevé Excipit. --Szyx (d) 27 mars 2009 à 18:57 (UTC)
Pour -ème, selon en:-eme, c'est un suffixe « redécoupé » depuis phonème donc pas vraiment un dérivé de -ημα.
Pour -ome, c'est -ωμα ? il faut compléter la racine du mot... génome n'est pas une maladie...
Pour gramme, c'est sans discution de γράμμα (mais pourquoi en faire un -ma à part ?)
je viens de pondre -ache, -uche pour complèter le (p-ê) futur AdQ -oche et de ce petit effort il ressort que la voyelle précédant la consonne finale est partie entière du suffixe. Donc sauf raison particulière je ne vois pas l'intéret de -μα
Merci. j'ai ajouté fantoche, sacoche, bamboche (ce dernier: "marionnette") sous une deuxieme entrée (provenant de l'italien) et pioche, bamboche (canne de bambou) sous -oche.--Diligent16 mars 2009 à 14:21 (UTC)
Pour continuer, il y a aussi basoche, dont l'étymologie est compliquée. Quant à Folcoche, le personnage créé par Hervé Bazin, je crois que le nom est en voie de lexicalisation, d'ailleurs il viendrait d'un mot de patois. Voir par exemple ici. Quant au prénom que j'ai cité, aucun autre exemple ne me vient en tête de prénom avec ce suffixe (Patoche, Loloche ?) et cela ne me semblerait pas inutile s'agissant d'un article de qualité ?--Zorglub16 mars 2009 à 19:14 (UTC)
Basoche n'est pas suffixée (étymologie ajoutée depuis TLFi). Pour les prénoms, la liste est infinie. je pense suffisant de mentionner que ça existe. --Diligent17 mars 2009 à 15:41 (UTC)
Le TLFi range si dans les adverbes. Mais ce n'est pas qu'une répétition de si. Cela a un sens elliptique de « si, si ça existe ! » ou « si, si c'est vrai ! » , « c'est incroyable mais pourtant c'est vrai ».
Un boitier anti-jeune...si, si ça existe ! - (desourcesure.com)
Marseille, capitale européenne de la culture: si, si ! - (europatriotism.cafebabel.com)
Effectivement, c'est si deux fois de suite. Mais entre la phrase Si. et la phrase Si, si., il y a une différence de sens très nette, qui n'est pas du tout évidente si on le définit pas si, si. Encore faut-il trouver la bonne définition. Lmaltier22 août 2009 à 10:25 (UTC)
Si on veut essayer d'être strict, à défaut d'utiliser le masculin singulier qui n'existe pas, autant utiliser le masculin pluriel entre eux comme article principal. Par contre je verrais bien un article particulier pour entre nous quand il s'utilise dans le sens 1 (inutilisé avec les autres). - Dakdada(discuter)17 mars 2009 à 12:43 (UTC)
Je pense qu'"entre soi" existe, dans le sens "entre gens de même milieu social". Il est même utilisé comme substantif "Entre-soi" pour désigner la fermeture d'un système à de nouvelles têtes, le népotisme etc. Ex : "Au XIXe siècle, il était courant de se marier entre soi". "La tentation de l'entre-soi des habitants de certaines banlieues huppées"
Personne ne veut le signer en France -- Sens ajouté
Ben, la retranscription, c'est « personne ne veut le signer en France »... Dans le sens qu'aucune maison de disques ne veut signer un contrat avec lui. --Szyx18 mars 2009 à 14:52 (UTC)
Autres exemple de « signer quelqu'un » :
On voulait le signer parce que c’est un grand joueur de rugby. D’autres clubs veulent d’abord le signer pour remplir un stade.
Pour Gomis , s’il est si fort pourquoi personne ne veut le signer . En tout cas , si on vous suit ( il faut des scoreurs ) , les américains sont idiots de signer des Diawara et des Pietrus qui n’ont pas mis un shoot de la saison et de virer des Jasikevicius , des macijauskas , des Spanoulis ( qui ne ratent jamais un shoot ouvert ).
Pendant des années, le chanteur démarche avec ses chansons pop acidulées et aucun label ne veut le signer en l’état, essayant toujours de le formater plus ...
Avec autant de citations possibles, je penses que tu peux raisonnablement te lancer dans l'ajout de ce sens . Par ailleurs, la citation avec les noms au pluriel c'est intéressant : avec ça on peut multiplier le nombre de noms propres par deux . - Dakdada(discuter)18 mars 2009 à 15:25 (UTC)
Ne te fiche pas de moi : je ne sais pas comment mettre en forme cela sur l'article, j'aurais besoin d'aide. --Szyx19 mars 2009 à 21:35 (UTC)
Il faudrait créer ces locutions-phrases, qui sont plutôt fréquentes (je dirais qu’on entend ça environ une fois tous les deux mois).
Il y a des coups de pied au cul qui se perdent, des baffes qui se perdent, des coups de pied là où je pense qui se perdent...
Pour le sens, je pense que c’est : « ton comportement / tes actions auraient mérité des (.*) mais ces (.*) ne sont pas arrivés, donc ils sont perdus ». Pour une définition claire et nette, on demandera à quelqu’un de plus compétent. --Eiku(@)13 mars 2009 à 01:47 (UTC)
Concernant le nom de la page, nn on n'a pas de convention pour ce genre de partition qu'on essaye d'éviter le plus possible, mais le plus logique serait d'écrire avec des points de suspension : il y a des … qui se perdent, avec les différentes variantes renvoyant (indirectement) vers cet article principal. - Dakdada(discuter)17 mars 2009 à 12:48 (UTC)
Qu’est-ce que c’est, nn ? C’est nous ? En tout cas, je suis d’accord pour les points de suspension, ça fera mieux, en effet. J’ai changé le lien du titre. --Eiku(@)19 mars 2009 à 18:13 (UTC)
Bonsoir,
Je ne sais pas sous quel titre mettre cette locution.
Langue de l’exemple manquante !
À propos, on devrait aussi rajouter C’est moi qui te le dis, mais le même problème de titre se pose (on peut aussi dire C’est moi qui vous le dis). Pour la définition, je dirais que ça sert à appuyer le propos, à se conférer une certaine autorité.
Et que dire de C’est toi / vous qui le dis/dites ? (pour la définition, c’est clairement synonyme de Je ne partage pas ton/votre opinion).
--Eiku(@)14 mars 2009 à 23:55 (UTC)
J’ai un peu Googlé ("tu+djertes"+OR+"il+djerte"+OR+"vous+djertez"+OR+"je+djerte"&btnG=Search) et ça me donne quelques très rares résultats. Ici, comme c’est un vocable typiquement oral, ce n’est pas la faiblesse des occurrences qui remet en cause son existence. Mais peut-être aussi que c’est simplement une altération dûe à une manière de prononcer jarter (ou bien à mon oreille et à ma mémoire). D’autres « témoins » ? --Eiku(@)
Effectivement le sens est commun avec jarter puisque cette expression d'origine meurthe et mosellane (54) est toujours tres utilisée.
le condensé de tu te jartes devient avec la prononciation du 54 >> tu djertes
co-présence de deux sens contraires
(définition proposée par le linguiste Claude HAGÈGE (1936-) in Louis-Jean CALVET (1942-), article de 2005 « Le signe saussurien et la sociolinguistique »)
Formation d'érythrocytes? Jcwf19 mars 2009 à 03:07 (UTC)
Formation d'hématies.
Hématie: globule rouge, ayant la forme d'une lentille biconcave de 7 micro de diamètre. L'h. adulte ( érythrocyte ) est acidophile, d'aspect homogène et dépourvue de noyau.
Les athées sont des non-croyants sachant qu'il y a des baptisés devenu athée et il y a ceux qui ne sont jamais baptisés et qu'ils le restent sont également athée. Pourtant il y a ceux qui sont nés pas encore baptisés et des années plus tard ils se baptisent.
alors normalement les devenus athées portent un nom ou ils le gardent ce nom "athée" mais alors les personnes jamais baptisés faudra trouver un nom aussi pour éclaircir certaines choses car cela reste flou.
On peut créer non-baptisé (bien que la version sans tiret semble plus courante, mais c'est à vérifier). Pour la question, ce n'est pas très clair... Si la question est de savoir s'il y a un mot qui signifie athée non-baptisé, je ne pense pas, mais je ne vois pas bien en quoi ce serait indispensable d'avoir un mot spécial pour dire ça. Lmaltier21 mars 2009 à 17:41 (UTC)
baptisé, néophyte, convers / débaptisé, apostat, relaps / non-baptisé, païen (il peut ou non être entré en contact avec les croyants et avoir ou non refusé de se convertir), agnostique (en terme religieux : celui qui est ignorant de l'existence de Dieu), converti (mais pas forcément encore baptisé), cathéchumène (converti mais dans l'attente du baptème, donc, techniquement non-baptisé)
Pour les catholiques, les non-baptisés « involontaires » (foetus, enfant mort-né, enfant mort avant de recevoir le baptême, personne née avant la naissance de Jésus, personne née après la naissance de Jésus mais n'ayant pas pu prendre connaissance du Salut qu'il propose - Amérindiens avant la conquête espagnole par exemple) vont dans les limbes.
PS : athée n'a rien a voir avec le baptême ou non. Un personne peut etre baptisée (avoir reçu le baptême) et être athée (ne plus croire en Dieu) sans avoir quitté l'Église (avoir fait acte d'apostasie). Á contrario, un croyant en Dieu (musulman ou juif, par exemple) peut ne pas être baptisé et rejeter viscéralement l'athéisme. --Diligent21 mars 2009 à 23:43 (UTC)
Cette expression veut dire "âmes sensibles, s'abstenir"
A la base elle est dérogatoire, mais elle est désormais même utilisée par les homosexuels (slogan de l'émission LGBT Bang Bang sur Pure FM en Belgique)
Bof, il me semble qu'il faudrait commencer par "pas pour les enfants", avec toutes les variantes selon l'humeur : "pas pour les demoiselles", "pas pour les dames", "pas pour les pédés", et puis avec toutes les sous-variantes, "pas pour les tarlouzes", "pas pour les petites filles", etc. C'est beaucoup de boulot pour pas grand chose à mon avis. Quand au sens, il peut aussi bien évoquer une difficulté physique que morale, me semble. --Zorglub25 mars 2009 à 17:12 (UTC)
Re-bof, d'accord avec Zorglub. On peut former quantité de variantes autour du thème de l'exclusion annoncé par « c'est pas pour les ». Je complète : « c'est pas pour les débiles », « c'est pas pour les nains », etc. S'il faut créer tous ces articles, certains n'ont pas fini de se défouler ! Je leur conseille la lecture des recueils sur les mille variantes autour de « Ta mère... ». Cordialement, --Excipit26 mars 2009 à 14:28 (UTC)