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En vain, j’avais cherché un ru, dont l’eau fraîche chante sous les feuilles, ou bien une source, comme il s’en trouve pourtant beaucoup dans le pays.— (Octave Mirbeau, Le Père Nicolas, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
Elle se trouvait à ce moment sur ce plateau de l’Île-de-France, qui du Rouillon à la Thève ne présente aucune rivière, et n’a que quelques rus qui s’emplissent d’eau l’hiver, mais restent l’été entièrement à sec.— (Hector Malot, En famille, 1893)
Il rencontra bientôt le ruisseau, ne s’y arrêta que pour en mesurer la largeur et le sauta fièrement. À cet endroit, ce n’était plus qu’un ru.— (Charles Vildrac, Amadou le Bouquillon, 1949, page 102)
L’eau abondait. Rus, ruisselets, ruisseaux, petites rivières tenaient le sol dans un filet brillant.— (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
De même, les dimensions du torrent modulent la vitesse de l’eau qui coule du ru, tout comme les caractéristiques d’un câble déterminent sa résistance électrique.— (François Lavallou, « Le complexe industriel », Les nombres complexes, Bibliothèque Tangente no 63, mai 2018, page 142)
Or est ainsi que, quant ces deux ruz de ces deux fonteinnes viennent ensemble, ce appele l'en le fleuve de Jourdain là où Dieu fu bauptizié.— (Jean de Joinville, 276)
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
« . Ar baotred all eus ar ru n’ouzont netra. . »— (Youenn Drezen, Skol-louarn Veig TrebernIII, Éditions Al Liamm, 1974, page 103)
« . Les autres garçons de la rue ne savent rien. . »
Nenn Jani, ken dinecʼh ha tra, a yeas er marcʼhallacʼh Pouliken da zibab ur bolez tener e stal ur varcʼhadourez-yer, he mignonez, a brenas vioù hag asperjuz kaer er cʼhocʼhu, toazon-leue er gigerezh e korn ar ru Vras hag ar ru Sant-Loeiz, da lakaat da drempañ e-pad an noz, ur voutailhad kognak ha kafe er ru Sant-Erwan, hag a zistroas d’ar gêr eürus.— (Roparz Hemon, Nenn Jani, Éditions Al Liamm, 1974, page 17)
Nenn Jani, sans la moindre appréhension, alla au marché de Pouliquen pour choisir un poulet tendre à l’étal d’une marchande de poulets, son amie, acheta des œufs et de belles asperges aux halles, du ris de veau à la boucherie au coin de la Grand Rue et de la rue Saint-Louis, pour le faire tremper pendant la nuit, une bouteille de cognac et du café rue Saint-Yves, et rentra heureuse à la maison.
Daou zen a ziviner un tammig pelloc’h war ar ru.— (Yann Gerven, Bouklet ha minellet, Al Liamm, 1990, page 61)
On devine deux personnes un petit peu plus loin dans la rue.