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François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
El 4 de mayo de 1840, a las diez y media de la noche, seis hombres atravesaban el patio de una pequeña casa de la calle de Belgrano, en la ciudad de Buenos Aires.— (José Mármol, Amalia, 1851)
Le 4 mai 1840, à dix heures et demie du soir, six hommes traversaient la cour d’une petite maison de l’avenue Belgrano, dans la ville de Buenos Aires.
On dit quʼIquique est grand, comme un salar. quʼil y a beaucoup de belles maisons, elles te plairont.
Primero llevaron el imán. (... Melquíades) fue de casa en casa arrastrando dos lingotes metálicos, y todo el mundo se espantó al ver que los calderos, las pailas, las tenazas y los anafes se caían de su sitio, y las maderas crujían por la desesperación de los clavos y los tornillos tratando de desenclavarse, y aun los objetos perdidos desde hacía mucho tiempo aparecían por donde más se les había buscado (...)— (Gabriel García Márquez, traduit par Claude et Carmen Durand, Cien años de soledad, DeBolsillo, 2003)
Ils commencèrent par apporter l’aimant. (...) Il passa de maison en maison, traînant avec lui deux lingots de métal, et tout le monde fut saisi de terreur à voir les chaudrons, les poêles, les tenailles et les chaufferettes tomber tout seuls de la place où ils étaient, le bois craquer à cause des clous et des vis qui essayaient désespérément de s’en arracher, et même les objets perdus depuis longtemps apparaissaient là où on les avait le plus cherchés (...)
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O soldado Veniamine Savenko tem vinte e três anos. (...) está longe de casa, essa é mais a regra do que a exceção na União Soviética: deportações, exílios, transferência maciça de populações, as pessoas estão constantemente a ser deslocadas, quase não há hipótese de viver e morrer onde se nasceu.— (Emmanuel Carrère, traduit par Manuela Torres, Limonov, Sextante Editora, 2012)
Le soldat, Veniamine Savenko, a vingt-trois ans. (...) Il est loin de chez lui, c’est la règle plutôt que l’exception en Union soviétique : déportations, exils, transferts massifs de populations, on ne cesse de déplacer les gens, les chances sont presque nulles de vivre et de mourir là où on est né.
A nossa casa diferia das demais palhotas. Era feita de cimento, com telhados de zinco, apetrechada de quartos, sala e cozinha interior. Sobre o chão espalhavam-se tapetes e nas janelas pendiam poeirentos cortinados.— (Mia Couto, traduit par Elisabeth Monteiro Rodrigues, A confissão da leoa, Editorial Caminho SA, Lisbonne, 2012)
Notre maison différait des autres paillotes. Elle était en ciment, avec des toits en zinc, équipée de chambres, d’un salon et d’une cuisine intérieure. Des tapis jonchaient le sol et des rideaux poussiéreux pendaient aux fenêtres.