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Représente un objet qui se divise facilement en deux moitiés : Chiffre pair, divisible par deux. La forme graphique semble traduire des origines multiples :
la forme primitive 亖 longtemps utilisée (mais rare de nos jours) montre simplement quatre traits superposés, pour signifier deux fois deux. On trouve parfois la superposition de quatre chevrons au lieu de quatre traits ;
une forme primitive 囬 plus rare montre peut-être la division d’un bourgeon par dichotomie successive. Par la suite de simplifications et déformations, les deux petits traits horizontaux ont migré vers le bas et se sont réduits à un puis zéro, pour laisser le caractère 四 ;
le caractère 四 serait une déformation et simplification de quatre traits verticaux, d’abord représentés 皿 puis 四 ;
la forme sigillaire ancienne 𠃢 exprime graphiquement la déhiscence du symbole en deux moitiés. C’est la forme dont est dérivé le caractère 六 six (mais l’influence pour cette forme rare a peut-être été dans l’autre sens).
Quatre > Aux quatre points cardinaux > Dans toutes les directions, de tout côtés.
(numérologie) Nombre des formes prises par la vertu de la Terre. Il y a quatre sortes de mouvements des six souffles du ciel (六氣, qui sont 陰, 陽, 風, 雨, 脢, 明), apparents dans les quatre saisons (四氣).
Clef sémantique ajoutée à 四
呬 (guā, xì) De 四 (souffle) et 口 (bouche, ouverture, son) : respirer.
泗 (pēng, sì) De 呬 (sortant du nez) et 水 (eau) qui remplace 口 : mucus nasal ; nom de rivière le long de laquelle est enterré Confucius.
柶 (sì, zhā) De 四 (rituel aux points cardinaux?) et 木 (bois) : cuillère rituelle servant à puiser la boisson et remplir les coupes.
駟 (sì) De 四 (quatre) et 馬 (cheval) : attelage de quatre chevaux de front, quatre.
Voir aussi
Donne par dérivation 六 six. Le caractère 匹 serait dérivé de 四.
La divisibilité est également figurée dans les autres chiffres pairs : 二 Deux ; 八 Huit.
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(Nom 2) De l’ancien japonais よ, yo, employé au lieu de shi pour éviter l’homonimie avec 死, shi (« mort »). Gion’e gokenbutsu goseiki (1522), un rapport sur le shogun Ashikaga Yoshiharu dans le Gion Matsuri, utilisa 二, 三, よ, 五 (ni, san, yo, go) dans la carte des cuisines[1]. João Rodrigues écrivit dans Arte da lingoa de Iapam (1604) que les Japonais détestaient la prononciation de shi à cause de l’homonymie avec la mort et qu’ils utilisaient yo[2]. Ōtsuki Fumihiko écrivit dans Kōgohō bekki (1917) que l’on utilise futa, yon et nana au lieu de ni, shi et shichi pour 2, 4 et 7 pour éviter la confusion avec les autres chiffres[3]. Le ん final est une influence du numéral précédent 三, san (« trois »).
↑大南國音字彙合解大法國音/Dictionnaire Annamite-Français — langue officielle et langue vulgaire (Jean Bonet), 1899-1900, Paris, Imprimerie nationale Tome 1, A-M et Tome 2, N-Z sur Gallica. Consulter la page 377 du tome 2 sur Gallica ou sur Chunom.org
↑ a et bDictionnaire Annamite Français (J.F.M Génibrel), 1898, Saïgon, 2e édition → consulter cet ouvrage sur archive.org ou bien directement la page 791 sur Chunom.org