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Les charrettes et les chars étaient là dès potron-minet, voire dès la veille, car le marché était clappé dès prime ; il durait jusqu’à midi.— (Alain Derville, Saint-Omer : des origines au début du XIVe siècle, page 189, Presses Univ. Septentrion, 1995)
Arthur ? C'est moi... Justine. Je craque, envie de te voir, plus possible ces ouikendes. Six mois que ça dure, me sens comme une back-street vieillissant dans le formol.— (Odile Cuaz, Faut-il s'embrasser sur la bouche... et sinon quand ?, Éditions Robert Laffont, 1989, chap. 3)
Toutes les choses de ce monde durent peu. — L’hiver dure encore.
Ne pouvoir durer avec quelqu’un, Ne pouvoir vivre avec lui, ne pouvoir le supporter.
On ne peut durer avec cet homme-là, tant il est fâcheux et difficile.
Paraître long et ennuyeux.
Elle disait : « Les médecins veulent me garder encore un mois. » — « Le temps me dure, » disait Maurice. — « Que veux-tu, il faut que je me guérisse. » Il répondait : « Oh ! je sais, tu veux toujours faire à ta tête. »— (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 129)
Mais, quand Odette était partie, Swann souriait en pensant qu’elle lui avait dit combien le temps lui durerait jusqu’à ce qu’il lui permît de revenir.— (Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913, réédition Le Livre de Poche, page 17)
Les copains étaient dans une impatience à la fois si aiguë et si attentive que le temps ne leur durait pas.— (Jules Romains, Les Copains, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 136)
– Nous la voilà pour trois semaines, oui, et ce n’est pas assez, vois-tu. Trois semaines vont vite quand on a sa fille, et le temps nous dure après.— (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 160)