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(Date à préciser) De l’ancien bas vieux-francique salu « pâle, terne » (cf. néerlandais zaluw), par rapprochement avec l’italien salavo de sens identique ; apparenté à l’allemand régional sal « foncé », à l’anglais sallow « cireux ». Un croisement avec le gaulois est aussi plausible en rapprochant ce mot de l’irlandais et de l’écossais sal « saleté », salach « sale » et du gallois halog « sale ».
Qui est malpropre, qui n’est pas net, en parlant des personnes ou des choses.
Sale et productif comme le commerce, ce passage, toujours plein d’allants et de venants, de charrettes, de haquets, est d’un aspect repoussant, et la population qui y grouille est en harmonie avec les choses et les lieux.— (Honoré de Balzac, Le Cousin Pons, 1847)
J’avais pu constater, parmi cette cinquantaine de squales presque noirs, la présence d’un énorme requin blanc sale.— (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
Crève mon sale T’es un mangeux d’marde Un maudit crotté Un malade mental M’a t’faire poignarder Tu mériterais de t’faire passer d’sus par un char ou un camion à ciment.— (Crampe en masse, Crève mon sale)
De même, se repose la logique des circuits du propre et du sale, avec la lancinante question du lave-linge qui trouve difficilement sa place, surtout depuis qu'il est accompagné d'un sèche-linge. — (Monique Eleb & Philippe Simon, Le logement contemporain: Entre confort, désir et normes (1995-2012), Bruxelles : Éditions Mardaga, 2013)
Le vite, je l’ai connu chez ma mère, c’était manger la soupe et la viande dans la même assiette pour s’économiser de la vaisselle, dire allègrement que ce pull-là porte bien son sale, pas besoin de le changer, c’était laisser les choses tranquilles avec leur poussière et leur usure.— (Annie Ernaux, La femme gelée, 1981, réédition Quarto Gallimard, page 333)