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(Date à préciser) Dérivé de pâte, avec le suffixe -é[1].
Le sens de ce mot est graduellement passé de « pâtisserie qui renferme de la viande » (on parle aujourd’hui de terrine en ce sens) à « charcuterie de viande hachée, épicée et cuite », par métonymie. Référence nécessaire
La maîtresse de maison, aidée de ses filles, avait fait le pain, des fougasses aux grattons et aux olives, pâtés truffés en terrine, fouaces, gâteaux à la broche et tartes aux pommes.— (Marie Brunel, La Sylvestresse, 2016)
Les enfants s’amusaient dans le jardin à faire des pâtés de sable.
Son regard tranquille me protégeait pendant que je faisais des pâtés au Luxembourg, pendant que je berçais ma poupée Blondine, descendue du ciel une nuit de Noël avec la malle qui contenait son trousseau.— (Simone de Beauvoir, Mémoires d’une jeune fille rangée, 1958, réédition Le Livre de Poche, page 6)
D’abord, je gâche trois feuilles de papier à compliments : j’ai beau tirer la langue, et la remuer, et la crisper en faisant mes majuscules, j’éborgne les o, j’emplis d’encre la queue des g, et je fais chaque fois un pâté sur le mot « allégresse ».— (Jules Vallès, L’Enfant, G. Charpentier, 1889)
Il ne saurait écrire trois lignes sans faire un pâté.
La rue et l’impasse du Doyenné, voilà les seules voies intérieures de ce pâté sombre et désert où les habitants sont probablement des fantômes, car on n’y voit jamais personne.— (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
Ces bâtiments nommés insulae (îles) s’écroulaient de temps à autre, mais plus souvent encore ils étaient la proie des flammes qui se propageaient avec une vitesse effarante aux pâtés voisins.— (Pierre Renucci, Claude, Perrin, Paris, 2012, page 328)