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Copié de l’anglais the, vraisemblablement à cause de l’habitude des Américains de mettre cet article devant le nom d’une personne très connue et d’appuyer sur ce mot, et également de sa ressemblance phonétique avec le démonstratif ce.
(Populaire) Variante orthographique de the. Permet de signaler que l’objet dont on parle est unique, que c’est le meilleur, l’idéal. À l’oral, on en fait le mot principal de la phrase en lui donnant une intonation très forte.
C’est ze cadeau de Noël.
Un Mac, c’était ze machine pour un graphiste, quoi.
Aïe ! Alors ça, c’est justement ze bêtise qu’il fallait pas faire.
(Américanisme) Permet de mettre en emphase la personne dont on parle. Parfois complété de big.
Si les chefs d’établissement se prirent comme un seul homme la tête entre les mains, s’ils rugirent QUOI ? comme un seul fauve, c’est parce que avec leur sagacité coutumière, ils avaient immédiatement vu le problème, ze big problème…— (Fouad Laroui, L’Invention de la natation sèche, dans le recueil L’Étrange Affaire du pantalon de Dassoukine, 2012, page 106)
Elvis Presley, c’était ze King.
Hier, nous avons eu la visite de Johnny Hallyday, ze Johnny Hallyday !
(Pronom)(Années 1860) De he et she en remplaçant la première consonne par z-. Première première preuve d’attestation en 1864 dans The Ladies’ Repository.[1]
(Non standard)Variante orthographique dethe utilisée pour représenter un accent étranger (souvent français ou allemand).
Then one French-American sous-chef, still in his white kitchen gear, climbed down from the cockpit, where he had been inspecting the cabin, peering inside, murmuring, "wonderfool–wonderfool, ze workmansheep!"— (Tristan Jones, Adrift, page 257, 1992 → lire en ligne)
Puis un sous-chef franco-américain, toujours dans son équipement de cuisine blanc, est descendu du cockpit, où il avait inspecté la cabine, regardant à l’intérieur en murmurant: “Wonderfool - wonderfool, ze workmansheep!”. (Merveilleux – Merveilleux, le travail).
Notes
Il s’agit d’un terme utilisé qui n’est pas d’un usage standard.
Ze takes my right hand in hirs and folds it into a fist.— (Feinberg Leslie, Drag King Dreams,New York: Carroll & Graf, page 205, 22 Mars 2006 → lire en ligne)
Iel prend ma main droite dans la sienne et la serre en un poing.
Ze changed hir name to one of those New Testament names, and re-fashioned hirself into a soft, puffy, half-finished hermaphrodite nicknamed, The Pop n’ Fresh Doe.— (Lopez Erika, The Girl Must Die: A Monster Girl Memoir, Hicken, Jeffrey, San Francisco: Monster Girl Media, page 143, 12 Octobre 2010 → lire en ligne)
Iel a changé son nom pour l’un de ces noms du Nouveau Testament et s’est transformæ en un hermaphrodite doux, gonflé et à moitié fini surnommé « The Pop n’Fresh Doe ».
Notes
Il s’agit d’un terme utilisé qui n’est pas d’un usage standard.
Les membres de la communauté genderqueer sont les adeptes majoritaires de ze. On fait référence à une personne avec ze et hir ou zir généralement :
Lorsque son genre est inconnu et que l’on souhaite éviter de supposer son genre.
Lorsqu’elle n’est ni de genre masculin ni féminin, ce qui fait que les termes he et she (et également des termes comme s/he ou (s)he) sont inappropriés et potentiellement blessants (notamment dû au mégenrage).
Ils/elles : forme simple de la troisième personne du pluriel indépendante du genre, qui peut être utilisée autant en position de sujet que de complément.
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →