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Se réfère à une personnegénérique ou dont le genre est inconnu : il, iel. Note : Depuis le milieu du XXe siècle, cet utilisation de he est de moins en moins utilisée en faveur de he or she ou de they.
Correspond à un ancien génitif féminin du démonstratif celte *emo-, cf le sanskrit अस्यास् asyās (« dʼelle »), alors que e (« son, sa, ses (à lui) ») correspond à lʼancien génitif masculin, cf le sanskrit अस्य asya (« de lui »), ce qui explique que he (« d’elle ») exige une mutation par spirantisation et e (« de lui ») une mutation par adoucissement. À comparer avec le gallois clust (« oreille »), ei glust (« son oreille à lui ») et ei chlust (« son oreille à elle »), le vieil-irlandais a (« son, sa, ses »); avec aspiration surajoutée en breton.[1]
pa wisko an hiviz-se e skorno he holl izili, he cʼhorf a deuo da vezañ reut evel ur peul maen .— (Fañch an Uhel, Kontadennoù ar Bobl/1, Éditions Al Liamm, 1984, page 102)
quand elle mettra cette chemise, tous ses membres gèleront, son corps deviendra raide comme un pilier de pierre .
Note : mutation par spirantisation après l’adjectif possessif he.
Lakaomp anezhi en un arched koad , hag he leuskomp da vont neuze war ar mor, en gras Doue.— (Fañch an Uhel, Kontadennoù ar Bobl/1, Al Liamm, 1984, page 102.)
Mettons-la dans un cercueil en bois, et alors laissons-la aller sur la mer, à la grâce de Dieu.
Note : mutation par spirantisation après le pronom personnel he.
Première personne du singulier de l’indicatif présent dehaber (« avoir »).
Antes de aquel otoño eran muy pocos los vecinos del pueblo que pudieran decir « he visto un tractor ».— (Luis Goytisolo, Las afueras, 1958)
Avant cet automne-là les habitants du village qui pussent dire « j’ai vu un tracteur » étaient très peu nombreux.
Deuxième personne du singulier de l’impératif dehaber (« avoir »).
Note : on trouve aussi parfois la forme archaïque habe, encore plus proche du latin habere. Cette conjugaison de l’impératif est désuète ; elle ne se rencontre plus que dans des expressions anciennes comme « He aquí el hombre » (Voici l’homme).
Ce mot issu d'un dialecte suédois utilise une notation dialectale car la dialecte ne dispose pas d'une orthographe officielle. Parmi les éléments caractéristiques de cette notation figurent :
l'emploi du « L » (« l majuscule ») pour représenter une consonne battue rétroflexe , qui dans ces variétés provient soit du vieux norrois/ancien suédois , soit de .
pour les voyelles doublées, « ` » (l'accent grave) est couramment utilisé entre elles pour indiquer un accent de hauteur.
Références
Jan-Olov Nyström, Ordbok över lulemålet: : på grundval av dialekten i Antnäs by, Nederluleå socken, Umeå, 1993, ISBN9186372254, page 73