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Du moyen haut-allemand denken, du vieux haut allemand thenken (VIIIe), du proto-germanique *þankijaną. À comparer au bas allemand denken, dinken, au néerlandais denken, au frison tinke, à l’anglais think, à l’islandais þekkja. Référence nécessaire
Wenn ich zuviel getrunken habe, kann ich nicht mehr ordentlich denken.
Quand j’ai trop bu, je ne peux plus penser convenablement.
Diese lebhafte und spöttische, aber kalte Frau hatte folgerichtige, aber unerbauliche Gedanken, weil ihr Mann erbaulich und unlogisch dachte; da er verlogen und leichtgläubig war, zweifelte sie an allem: «Die Leute behaupten, die Erde drehe sich; woher wissen sie das eigentlich?»— (Jean-Paul Sartre, traduit par Hans Mayer, Die Wörter, Rowohlt Verlag, Hamburg, 1965)
Cette femme vive et malicieuse mais froide pensait droit et mal, parce que son mari pensait bien et de travers; parce qu'il était menteur et crédule, elle doutait de tout: « Ils prétendent que la terre tourne; qu’est-ce qu'ils en savent? »
Marion a pensé toute la journée aux paroles de sa mère.
Ich denke an dich, weil ich dich liebe!
Je pense à toi parce que je t’aime !
Worandenkst du?
À quoi penses-tu ?
Abends telegraphierte Rieux seiner Frau, die Stadt sei geschlossen, es gehe ihm gut, sie solle weiter auf sich aufpassen und er denke an sie.— (Albert Camus, traduit par Uli Aumüller, Die Pest, Rowohlt Verlag, 1997)
Le soir, Rieux télégraphiait à sa femme que la ville était fermée, qu’il allait bien, qu’elle devait continuer de veiller sur elle-même et qu’il pensait à elle.
Sie kam zurück, setzte sich mir wieder gegenüber und fragte mit vollkommen verändertem, sehr direktem Ton: »Haben Sie schon mal an die Kanaren gedacht?« Angesichts meines Schweigens meinte sie mit dem Lächeln des Profis: »Die Leute denken selten an die Kanaren … Eine Inselgruppe vor der afrikanischen Küste, vom Passatwind und dem Kanarenstrom beeinflusst; ganzjährig mildes Wetter.— (Michel Houellebecq, traduit par Hinrich Schmidt-Henkel, Lanzarote, DuMont Buchverlag, Köln, 2000)
Elle revint s’asseoir en face de moi et d’un ton direct, très changé, me demanda : « Vous avez pensé aux Canaries ? ». Devant mon silence elle abattit, avec un sourire de professionnelle : « Les gens pensent rarement aux Canaries… C'est un archipel au large des côtes africaines, baigné par le Gulf Stream ; le temps est doux toute l’année.
Nous pensions qu’une chose pareille était impossible.
Was denkst du?
Qu’en penses-tu ? / Que penses-tu de cela ?
Heute aber kann man sich nicht sicher sein, ob Wladimir Putin rational denkt und handelt.— (Eric Frey, « Das Putin-Dilemma », dans Der Standard, 4 mars 2022)
Mais aujourd'hui, on ne peut pas être sûr que Vladimir Poutine pense et agisse de manière rationnelle.
Was der Präsident der USA denkt und was er sagt, unterscheidet sich zuweilen.— (Hubert Wetzel, « Bidens Botschaft an China », dans Süddeutsche Zeitung, 24 mai 2022)
Ce que le président des États-Unis pense et ce qu’il dit diffèrent parfois.
Wie Eduard selbst anmerkt, ist eine Chronik des Lebens in der Sowjetunion während der sechziger Jahre nicht vollständig ohne den KGB. Der westliche Leser zittert schon. Er denkt an den Gulag und an Internierungen in der Psychiatrie, doch auch wenn Eduard sich öfter auf der Polizeiwache wiederfand, als ihm lieb war, so war sein Kontakt mit den Organen von Charkow einfach nur grotesk.— (Emmanuel Carrère, traduit par Claudia Hamm, Limonow, MSB Matthes & Seitz Berlin Verlagsgesellschaft, Berlin, 2012)
Comme il l’observe lui-même, une chronique de la vie soviétique dans les années soixante ne serait pas complète sans le KGB. D’avance, le lecteur occidental frémit. Il pense Goulag, internements psychiatriques, mais, s’il s’est plus souvent qu’à son tour retrouvé au poste, les rapports d’Édouard avec les organes à Kharkov ont été simplement vaudevillesques.
↑— (Friedrich Kluge, Elmar Seebold : Etymologisches Wörterbuch der deutschen Sprache. 25., édition revue et augmentée. Éditeur Walter de Gruyter, Berlin/New York 2011, ISBN 978-3-11-022364-4, DNB 1012311937, mot-clé: „denken“, page 190).
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →