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Bonsoir @Àncilu :. Les formes de référence sont sensées être avec diactitiques, voir Portail:Arabe. Donc, oui, les formes diacritées sont plus qu'admissibles, elles sont la norme. Après, savoir si ce sont des formes attestées est une autre question, si la forme n'est pas attestée, elle n'est pas admissible. Et pour l'exemple donné, il semble que ce n'est pas attesté?. Micheletb (discussion) 22 mars 2023 à 19:55 (UTC)Répondre
Bonjour @Àncilu : dans ce cas ce sont en réalité deux lettres différentes, le gâf d'une part et le diacritique d'autre part. Dans l'alphabet romain, les diacritiques qui permettent par exemple de distinguer entre "é" et "ê" comptent l'ensemble pour une seule lettre, le diacritique modifiant la prononciation de la lettre. Dans le cas de l'arabe il y a deux niveaux de diacritiques : par rapport au rasm, qui est le tracé de base, les points différenciant les consonnes (i'jâm) sont des diacritiques (au sens européen du terme) qui font partie de la lettre, et justifient évidemment d'une entrée à part. En revanche, les annotations complémentaires (harakat : redoublement, nunnation, voyelle ou absence de voyelle, etc.) ne font pas partie de la lettre, mais sont l'équivalent de lettres complémentaires (et au demeurant facultatifs dans l'écriture courante). Il y a deux niveaux de notation, la consonne et (en gros) la voyelle, mais ça ne fait pas de l'ensemble consonne+voyelle une lettre différente.
Ce type d'analyse est à faire au cas par cas, il est évident que pour l'écriture coréenne ou pour l'alphasyllabaire guèze, l'association de phonèmes conduit à un caractère unique qu'il faut documenter en tant que tel. Dans ces langues, l'association de phonèmes conduit à un glyphe unique (même s'il est décomposable) alors qu'en arabe, on a une simple superposition de glyphes.
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Bonjour,
Le passage du robot d'Àncilu sur des entrées en arabe, a fait que mon programme pour détecter des coquilles a parcouru quelques entrées de cette langue. Par respect pour ton travail qui me semble de très grande qualité, je préfère te mentionner ces coquilles pour que tu les corriges ou que tu me dises si mes suggestions sont bonnes.
أَشْكَلُ : # Mêlé de deux nuances pexemple, rouge mêlé de blanc, blanc nuancé de rouge.
Mêlé de deux nuances (par exemple : rouge mêlé de blanc ou blanc nuancé de rouge).
سَجَدَ : # Se prosterner devant Dieu, adorer Dieu, et particulièremse prosterner et toucher la terre avec le front.
particulièrement se
مَحْسُوبٌ : # Compte et confié à quelqu'un, et dont celui-ci est responsable
Compte qui est confié à quelqu'un ou Compte confié à quelqu'un
Bonjour, @Snawei :, Merci pour le « travail qui me semble de très grande qualité », je me contente pour le contenu des entrées de faire des copier-coller « bêtes et méchants » du dictionnaire de Kazimirski, et souvent le .pdf n'a pas eu de reconnaissance optique de caractère d'une qualité suffisante - et, j'avoue, je ne relis et corrige pas toujours. Bref, n'hésite pas à corriger et rectifier, c'est un projet collaboratif, et au demeurant les suggestions sont celles que j'aurais faites (bien joué). Micheletb (discussion) 21 juin 2023 à 16:36 (UTC)Répondre
Transcription en arabe
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Salut!
J'ai cru comprendre que tu avais des compétences en transcription de mots arabes. Que pense tu de cet édit? Il a été fait par une IP et je voulais savoir si l'edit est bien ou pas. Voici l'edit
chauffer : fait de faire monter la température d'un objet.
chauffage : procédé consistant à chauffer.
chauffé, -ée : qualifie un objet faisant ou ayant fait l'objet d'un chauffage.
chauffable : qualifie un objet qui peut être chauffé.
chauffeur, -euse : acteur faisant l'action de chauffer, opérant sur un objet à chauffer.
chauffant, -ante : qualifie un sujet chauffeur, en train de chauffer un objet chauffable.
chauffoir : (a) lieu où l'on peut faire l'action de chauffer. (b) instrument utilisé pour chauffer.
boulonner : fait de fixer un objet en serrant un boulon.
boulonnation : le fait de boulonner.
boulonné, -ée : qualifie l'objet (1) subissant l'action de boulonner (2) après une boulonnation.
déboulonner : action d'inverser ou de supprimer l'effet d'une boulonnation.
boulonnatif : qualité d'un facteur qui favorise la boulonnation.
indéboulonnable : qualifie un objet qui ne peut pas être déboulonné.
boulonnabiliser : procédé consistant à rendre la nature d'un objet (supposé indéboulonnable) capable d'être boulonné.
merder : fait de mal faire quelque chose.
merditude : état de ce ou celui qui est merdé.
merdailler : fait de merder répétitivement, mais de manière impropre ou malsaine.
merdomanie, merdophilie : (1) obsession poussant à merder répétitivement et hors de propos, (2) addiction à la merditude.
merdomane, merdophile : obsédé de merdomanie.
merdiatre : acteur qui soigne la merditude d'un être merdé ou d'un merdailleur, ou d'un sujet atteint de merdomanie, un merdophile.
sorcier : jeter un sort pour faire une opération magique.
sorcié, -ée : qualifie l'objet (1) en train de sorcier (2) après une sorciation.
sorciage : procédé consistant à sorcier.
sorcieur, -euse : acteur faisant l'action de sorcier, opérant sur un objet à sorcier.
sorciique : (a, adjectif) qualifie un objet relatif ou propre au sorciage. (b, nom) science du sorciage.
sorciisme : (1) doctrine relative à la sorciique en tant que science du sorciage. (2) état d'un objet sorcié. (3) affection dont est atteint un sorciailleur. (4) discrimination envers des personnes sorciées ou sorcieuses. (5) Trait particulier observé chez les sorcieurs.
sorciiste : (1, nom) acteur dont le métier est d'être sorcieur. (2, nom) praticien de la théorie permettant de sorcier, le sorciisme. (3, adjectif) relatif au sorciisme.
Forme sans diacritique à la fin
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Salut, En arabe il est fréquent de ne pas écrire le diacritique dans la dernière lettre, si c'est un sukûn, ou tanwin dammatan s'il s'agit d'une ta' marbuta. Est-ce que ces formes-là sont admissibles ? ÀNCILU(U sìculu)9 octobre 2023 à 18:37 (UTC)Répondre
Oui, parce qu'en tant que forme existante on peut (théoriquement, par principe) faire l'entrée correspondante.
Non, parce que l'entrée de référence est celle avec diacritiques, de type كُتَّابٌ(kut²âbũ), c'est ce que font tous les bons dictionnaires, et c'est la terminaison casuelle qui permet de déterminer quelle forme de déclinaison est applicable (invariable comme بَعْدٍ(ba3dĩ), diptote comme أَعْوَدُ(a3wadu), triptote, forme verbale comme كَتَبَ(kataba)...). Donc si on la supprime on est obligé de préciser systématiquement la déclinaison.
Non, parce que il est fréquent non seulement de ne pas mettre la terminaison casuelle (diacritique sur la dernière lettre) mais de ne pas mettre de diacritiques du tout, donc la « forme usuelle » est en fait le squelette, de type كتاب(ktAb). C'est ce squelette qu'il est prioritaire de documenter correctement, quitte à ne dire que « forme sans diacritiques de كِتَابٌ(kitâbũ) ».
Oui, parce que c'est la forme normale en position de pause, où la terminaison casuelle est supprimée, comme dans كَم يُسَاوِي هَذَا الكِتَاب ؟ (kam yusâwî haVâ elkitâb_ ?) (Combien coûte ce livre ?). En fait on peut toujours supprimer la voyelle casuelle dans cette position.
C'est surtout dans cette position de pause que la forme est réellement admissible en tant que forme avec diacritiques, mais c'est en fin de compte comme une forme déclinée dont on se contenterait de dire « forme pausale de كِتَابٌ(kitâbũ) ». Donc, si un jour on s'amuse à mettre toutes les formes déclinées, la forme pausale devra également être documentée. Mais comme elle se déduit trivialement de la forme avec voyelle casuelle, ce n'est définitivement pas prioritaire.
Très clair, merci pour cette explication. Si jamais y a besoin, je peux écrire un script en Python pour les déclinaisons ayant des terminaisons régulières (ou irrégulières, mais suivant une régularité, genre des terminaisons qui changent en fonction d'une lettre) qui peut créer ces entrées automatiquement (l'accusatif et le génitif duels sont les plus simples), mais en revanches je ne sais pas si Python arrive à gérer bien les diacritiques de l'alphabet arabe... Bref je me renseignerai à propos de cela. En tout cas, oui, les formes déclinées sont assez pénibles à créer, c'est pour cette raison-là par exemple que j'ai crée avec mon bot des enclises des verbes italiens. ÀNCILU(U sìculu)10 octobre 2023 à 08:33 (UTC)Répondre
@Micheletb : avec Python sur un Wiki personnel privé de test, j'ai essayé avec de nombreuses formes, mais la forme pausale est franchement la plus simple, même au niveau de la prononciation. Pour ne pas faire d'erreurs je pense faire du plus simple au plus compliqué (accusatif et génitif) en augmentant progressivement la difficulté. ÀNCILU(U sìculu)4 décembre 2023 à 15:51 (UTC)Répondre
Bonsoir @Àncilu : Je ne comprends pas très bien ce que tu veux faire. Si c'est juste pour avoir des formes déclinées, tu peux regarder {{ar-déclinaison|ar-***ũ|ar-whb}}, et la forme pausale est juste celle sans la dernière voyelle. Bonnes réflexions, Micheletb (discussion) 4 décembre 2023 à 15:54 (UTC)Répondre
Le tableau généré par {{ar-déclinaison}} est toujours correct quand on lui passe les bons paramètres, l'un sur la forme de schème (genre {{ar-*a*²a*a}} et l'autre sur la forme de la racine (genre {{ar-ktb}}.
Les seuls mots qui ont des diacritiques sont ceux que j'ai mis en forme, ils appellent tous le modèle {{ar-terme}}. Il suffit de récupérer la liste des pages utilisant ce modèle dans l'espace principal, et tu auras tous ceux que l'on peut décliner automatiquement, ou presque.
En principe, ces mots ont tous un appel à {{ar-étymologie}} dans la section étymologie, qui reprend les mêmes paramètres, l'un sur la forme de schème (genre {{ar-*a*²a*a}} et l'autre sur la forme de la racine (genre {{ar-ktb}}. Mais parfois c'est plus compliqué quand il y a un troisième paramètre, la cuisine pour récupérer la bonne forme de schème est celle faite par le modèle {{ar-étymologie2}}.
Bonsoir @Àncilu : En fait il y a une piste nettement plus simple : tous les mots de forme régulière en schème x racine sont associé à un modèle de racine de type {{ar-ktb}} qui liste tous les mots associés. il suffit de parcourir la liste associative donnée par le modèle pour retrouver tous les mots que tu veux décliner dérivés de cette racine. Bonnes réflexions, Micheletb (discussion) 4 décembre 2023 à 17:22 (UTC)Répondre
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Bonsoir Micheletb, pourrais-tu jeter un oeil à موت ? J'ai pas osé fusionné les deux sections étymologies car l'état actuel de la page me laisse penser qu'il manque une section. Pamputt6 décembre 2023 à 22:13 (UTC)Répondre
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Les modèles {{ar-**â*iy²ũ}}, {{ar-a**â*iy²ũ}} et {{ar-i**â*iy²ũ}} génèrent les catégories suivantes, qui ne devraient pas exister (toutes les catégories du Wiktionnaire français doivent être en français) :
Bonjour, @Urhixidur :, en fait tous les modèles de schèmes dans Catégorie:Modèles de schème en arabe du Wiktionnaire génèrent des catégories de la forme Catégorie:Squelette de schème arabe. Ce ne sont pas des catégories au sens habituel du terme (catégorisant des mots), mais des outils lexicographiques avancés (catégorisant des schèmes, une notion abstraite de la grammaire arabe) destinés à retrouver rapidement quels sont les schèmes existants qui peuvent engendrer un « squelette » donné (autre idiosyncrasie de la grammaire arabe). Ces catégories sont normalement inaccessibles depuis l'espace dictionnaire normal, donc ce n'est pas un problème qu'elles ne soient pas en français. S'il fallait absolument les exprimer en français, Catégorie:ازرازي donnerait quelque chose comme Catégorie:schèmes susceptibles de prendre une forme de type "ازرازي", ce qui n'ajoute pas grand'chose à la compréhension du lecteur non spécialiste.
De temps en temps j'oublie d'en initialiser une lors de la création d'un nouveau schème, et elle apparaît dans la catégorie des catégories appelées mais manquantes, c'est à peu près le seul cas ou un intervenant non arabophile les verra passer. Micheletb (discussion) 5 avril 2024 à 19:05 (UTC)Répondre
-@
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bonsoir @Àncilu : le petit trait vertical est un â long diacritique que mon codage représente par E. Donc, يٰسَ(yEsa). C’est documenté dans Convention:arabe/Translittération, tout va bien, même si OK « alif long diacritique » n’est pas forcément très clair (mais il y a l’exemple). Si tu as des suggestions pour améliorer la notice n’hésite pas à l’indiquer ou à la corriger. Micheletb (discussion) 13 juin 2024 à 18:17 (UTC)Répondre
@Àncilu : j’ai l’impression que tu rentres le nom des sourates du coran, méfie: les sourates ayant un nom propre comme « la vache » sont des sourates à mot défini, et dans se cas le mot arabe est en el—u, commençant par el et finissant par u. Une sourate comme celle de « yâ-sîn » (سِينٌ(sînũ)) sera probablement désignée par « sourate de YS », et dans ce cas le YS est au génitif, donc probablement يٰسِ(yEsi), ‘i’ étant la marque du génitif. A vérifier en tout cas. Micheletb (discussion) 13 juin 2024 à 18:30 (UTC)Répondre
@Àncilu : précision: « sourate de la vache » dans ce contexte met « la vache » au génitif, donc finale en « i », mais le titre de la sourate est « la vache », nominatif, finale en u = forme lexicale de référence. D’autre part, autant il est important de mettre les entrées de référence avec diacritiques, autant c’est (général ement) plutôt inutile dans le cas de locutions clairement formées de plusieurs mots, puisque chaque mot peut avoir son entrée propre avec diacritiques. Micheletb (discussion) 13 juin 2024 à 18:47 (UTC)Répondre
OK, je vais corriger. Juste pour yasin tu as confondu , en effet j'avais bien compris le diacritique alif car il est listé. Le diacritique sur le sîn n'est pas une fatha et est en effet le même qu'on retrouve dans les lettres mystérieuses dans certains versets comme le 1er verset de al-Baqara. ÀNCILU(Lu sìculu)13 juin 2024 à 18:58 (UTC)Répondre
@Àncilu : le trait vertical n'est effectivement pas une fatha, c'est un أَلِفْ قَصِيرَةَ(alif qaSîr@a), « petit Alif », qui remplace une fatha pour signifier un Alif long (normalement écrit par un fatha et un Alif de prolongation. Ça se voit dans la phonétique,
يٰسٍ(yEsĩ)/jaː.sin/ indique bien correctement un a long. C'est un diacritique qui n'apparaît que dans quelques mots, mais qui sont souvent fréquents, comme
Je ne patle pas du petit alif, je sais bien qu'il ne s'agit pas d'une fatha. Je le répète : c'est le symbole sur le sîn qui n'est pas une fatha mais un symbole qui ressemble à celui qui se trouve dans alif madda, une tilde. Cela rend une prononciation particulière : il faut prononcer le nom de la lettre donc si l'on mettait sur le jîm, il serait prononcé جِيمْ. Donc ma question est : comment dois-je ÀNCILU(Lu sìculu)14 juin 2024 à 13:07 (UTC)Répondre
@Àncilu : OK, et tu veux le coder comment? Si c'est par exemple un pourcentage, la transcription sera quelque chose comme {{ar-mot|y%s}}, il faut juste ensuite mettre la correspondance dans module:arabe. Mais il faut un bon mnémonique, peut-être "£" comme "lettre"? Micheletb (discussion) 14 juin 2024 à 15:27 (UTC)Répondre
@Àncilu : c'est normal le module phonétique ne peut pas gérer ça. Il faut utiliser ar-mot, et mettre la phonétique à la main. PS: je viens de comprendre que tu parlais du second diacritique, pas du premier :-( ...Micheletb (discussion) 14 juin 2024 à 15:51 (UTC)Répondre
Deux points
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Je voudrais attirer votre attention sur une erreur concernant l'usage de la hamzah au début des mots. Comme vous le savez déjà, il existe deux types de hamzah en début de mots arabes : la hamzah de coupure (همزة القطع) où il est nécessaire de prononcer un coup de glotte (/ʔ/) que ça soit au début de la parole (في بَدْءِ الكلامِ) ou bien en son milieu (في دَرْجِ الكلامِ), et la hamzah de liaison (همزة الوصل) qui n'est réalisée qu'en début de la parole. La première est représentée par ce signe, « ء », qui n'est pas tout-à-fait une diacritique mais une lettre à part entière, souvent associée à des lettres supports. Il n'est donc pas approprié de la supprimer là où elle devrait être, ni de l'ajouter là où elle ne devrait pas être, comme c'est le cas pour les ḥarakāt. La hamzah de liaison est marquée par un simple ’alif, bien qu'elle puisse être davantage distinguée par un petit ṣād initial (صـ), tiré du mot « صِلَةٌ » (liaison), et mis sur le ’alif pour former « ٱ » ; elle n'est jamais représentée par cette lettre, « ء », qui est à l'origine un petit ‘ayn initial (عـ), en raison de leur proximité phonétique — une invention de al-Imām al-Khalīl (VIIIe siècle) — même si le mot se trouve au début de la phrase, auquel cas le ’alif prendra optionnellement l'une des trois diacritiques.
Tous les noms commencent par une hamzah de coupure, à l'exception de dix, communément appelés « les dix noms » (الأسماء العشرة), dont « اِسم » (/ism/, et non *إِسم /ʔism/). Par conséquent, on dit « ما اسمك؟ » (ma‿smuka), et non pas *« ما إسمك؟ » (mā ’ismuka). Les autres noms sont :
Une exception concerne également tous les déverbaux (مصادر) des verbes commençant par une hamzah de liaison, comme « اِمْتِحَانٌ » (/im.ti.ħaː.nun/) qui dérive de « اِمْتَحَنَ » (/im.ta.ħa.na/).
Toutes les particules (الحروف), à l'exception de la particule de définition (الـ), commencent par une hamzah de coupure. Quelques exemples :
إلى، إذا، إن، أن، إلا، أو
Tous les verbes commencent par une hamzah de liaison, sauf les verbes trilittères à l'accompli dont la racine consonantique commence par un coup de glotte (comme أَكَلَ /ʔa.ka.la/), le schème quadrilittère « أَفْعَلَ » à l'accompli, comme « أَسْلَمَ » (/ʔas.la.ma/, dont le déverbal est « إِسْلَامٌ » /ʔis.laːmun/), et les verbes à l'inaccompli commençant par le préfixe de la première personne du singulier « أ » (comme « أَفْعَلُ » /ʔaf.ʕa.lu/).
Bonsoir @Àncilu : Bé si, la section est le texte qu'il y a avec. Le point est que les lettres de type ج(j) (ح(H) et خ(X)) font une liaison par dessus dans l'écriture classique, mais pas dans l'imprimée moderne. Du coup, quand on fait de l'écriture classique (ou du manuscrit) l'articulation de la liaison est très différente de ce qui se passe en typographie moderne. A ta disposition pour en parler si nécessaire. Micheletb (discussion) 11 novembre 2024 à 17:10 (UTC)Répondre