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Il est muet à la fin d’un mot, sauf à la fin de certains noms d’origineétrangère : David, Port-Saïd; et de quelques locutions latines : Ad patres, ad hoc.
En liaison, il se prononce T. : Grand homme; Pied-à-terre.
François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
Quatrième lettre et troisième consonne de l’alphabet ; représente le son \d\ des mots d’emprunt ou la gradation faible de t qui represente le son \d\ dans le langage standard.
Sanoissa "disko" ja "radio" on vierasperäinen d.
Les mots « disko » (discothèque) et « radio » (radio) contiennent un d d’emprunt.
Myös sanoissa "sade" ja "kadota" on d.
Aussi les mots « sade » (pluie) et « kadota » (disparaître) ont un d.
Notes
Dans les mots d’emprunt, il se prononce \d\ ou \t\.
Comme gradation faible de t, il se prononce \d\, \r\, \ɾ\, \ʋ\ ou encore Ø (muet).
(it) Remigio Roccella, Vocabolario della lingua parlata in Piazza Armerina, Sicilia, Bartolomeo Mantelli Editore, Caltagirone, 1875 → consulter cet ouvrage
: Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, préf. de Pierre-Yves Lambert, Errance, Paris, 2003, 2e édition, ISBN2-87772-237-6 (ISSN 0982-2720), page 144
(Linguistique) En fin de mot, la prononciation tend vers \t\ et on peut soupçonner que ad et at étaient fortement paronymes sinon homophones :
Illa quoque servata est a multis differentia, ut ad cum esset praepositio, d litteram, cum autem conjunctio, t acciperet. Quint. 1, 7, 5
En tant que son initial, la lettre latine ne supporte que d’être suivie par une voyelle. Les exceptions sont des mots d'emprunt, drama, druidae, etc. ou onomatopéiques.
Ainsi, le \d\ du digramme \dv\ est rejeté : viginti est pour *duiginti (exceptions : duo) ou transformé en /b/ : bellum est pour *duellum, bis est pour *duis, bonus est pour *duonus, etc.
Moins systématiquement, le digramme \di\, où /i/ représente un yod, commence à se prononcer /j/ vers le quatrième siècle avant notre ère ; → voir Jovis et Janus qui sont pour *Diovis ou *Dianus. En grec ancien, le même phénomène a eu lieu vers le son /z/ → voir Zeus et Juppiter.
Dans l'évolution du latin au français, le \d\ va s'amuïr pour, parfois, totalement disparaitre → voir mutare, muer et muter ou Noël et natalis : en latin classique, on a adsocio, qui aurait pu être écrit *atsocio, le bas latin a créé associo et le latin moderne a associatio.